La campagne pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles a été lancée ce matin. Ce qui a permis à la directrice de la famille au niveau du ministère de la Femme et de l’Enfance de revenir sur le sens de cette campagne : «C’est une campagne qui est mondiale, et qui va aider à informer les femmes sur le droit. Il faut qu’on continue la sensibilisation. Nous sommes là sur une place historique, qui a aidé la population à avoir des résultats à beaucoup de combats. C’est un choix qui se justifie», a déclaré Coumba Thiam.
Cette campagne est d’autant plus pertinente qu’on note toujours des augmentations de cette violence dans certaines régions du Sénégal : «Nous avons vu après avoir fait des études que Diourbel a un taux qui a augmenté avec 72%. Il y a aussi des régions comme Fatick, Kaolack et autres qui ont connu des taux important. Donc malgré tout ce qui se fait, il y a toujours cette violence. Cela veut dire qu’il ne faut jamais s’arrêter. Il ne faut même pas minimiser une perte de 1% », a-t-elle déclaré.
Déterminé à combattre ce fléau, Coumba Thiam appelle à ce que chacun fasse de ce combat le sien : «Pour mettre fin à cette violence faite aux femmes, à cette violence basée sur le genre, il faut que tout le monde participe. Ce n’est pas une affaire de gouvernement, ni de partenaire au développement, c’est une affaire de tout le monde. Au niveau du gouvernement, on peut dire que la volonté s’est affiché depuis très longtemps, et le gouvernement déroule des points d’actions à travers le ministère de la Femme. Ce n’est pas seulement à Dakar, c’est partout dans le pays, dans le monde qu’il faut parler de mettre fin à cette violence. Cette violence ne doit plus être là, il faut qu’on respecte les droits des enfants, les droits des femmes », a-t-elle conclu.
Il faut dire qu’au cours des dernières décennies, beaucoup de programmes ont été réalisés. Aujourd’hui, 125 pays ont adopté des lois contre le harcèlement sexuel et 119 contre la violence domestique, mais seuls 52 contre le viol conjugal. Malgré les efforts développés, la violence contre les femmes et les filles perdure dans tous les pays : les femmes sont battues à leur domicile, harcelées dans la rue et victimes de cyber-harcèlement, etc.
Cette campagne est d’autant plus pertinente qu’on note toujours des augmentations de cette violence dans certaines régions du Sénégal : «Nous avons vu après avoir fait des études que Diourbel a un taux qui a augmenté avec 72%. Il y a aussi des régions comme Fatick, Kaolack et autres qui ont connu des taux important. Donc malgré tout ce qui se fait, il y a toujours cette violence. Cela veut dire qu’il ne faut jamais s’arrêter. Il ne faut même pas minimiser une perte de 1% », a-t-elle déclaré.
Déterminé à combattre ce fléau, Coumba Thiam appelle à ce que chacun fasse de ce combat le sien : «Pour mettre fin à cette violence faite aux femmes, à cette violence basée sur le genre, il faut que tout le monde participe. Ce n’est pas une affaire de gouvernement, ni de partenaire au développement, c’est une affaire de tout le monde. Au niveau du gouvernement, on peut dire que la volonté s’est affiché depuis très longtemps, et le gouvernement déroule des points d’actions à travers le ministère de la Femme. Ce n’est pas seulement à Dakar, c’est partout dans le pays, dans le monde qu’il faut parler de mettre fin à cette violence. Cette violence ne doit plus être là, il faut qu’on respecte les droits des enfants, les droits des femmes », a-t-elle conclu.
Il faut dire qu’au cours des dernières décennies, beaucoup de programmes ont été réalisés. Aujourd’hui, 125 pays ont adopté des lois contre le harcèlement sexuel et 119 contre la violence domestique, mais seuls 52 contre le viol conjugal. Malgré les efforts développés, la violence contre les femmes et les filles perdure dans tous les pays : les femmes sont battues à leur domicile, harcelées dans la rue et victimes de cyber-harcèlement, etc.
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