Lorsque l’on évoque le championnat suisse, la Super League, quatre choses viennent rapidement à l’esprit : les trois clubs helvètes les plus connus (le Grasshopper, le FC Bâle et les Young Boys) et notre représentant tricolore Guillaume Hoarau, meilleur buteur du championnat avec 18 réalisations inscrites en 21 matches. Pourtant, en se penchant davantage sur la Super League, un autre nom revient avec insistance : celui d’Ezgjan Alioski. Âgé de 25 ans, cet international macédonien (11 sélections, 1 but) évolue à Lugano depuis la saison dernière. Une première année d’adaptation à l’élite suisse (10 titularisations en 16 apparitions) suivie d’un exercice 2016/2017 de fort belle facture.
Un latéral devenu buteur
Avec 16 réalisations au compteur en 34 rencontres, Alioski est le troisième meilleur artilleur de la ligue, derrière Hoarau (18) et Doumbia (20 buts). Mais ce n’est pas tout. En plus d’être finisseur, le natif de Prilep sait aussi gâter ses partenaires puisqu’il est le troisième meilleur passeur du championnat avec 14 offrandes. Un double double qui lui a permis de se faire un nom de l’autre côté des Alpes, d’autant que ce milieu offensif gaucher n’a pas débuté sa carrière à ce poste, comme nous l’a fait savoir la société qui gère ses intérêts, la Fairplay Agency.
« Il a commencé au poste de défenseur latéral gauche avec le BSC Young Boys (de 2010 à 2013). Mais sous les ordres de Zdeněk Zeman (l’ancien coach de l’AS Roma), qui était entraîneur de Lugano la saison dernière, il a changé de position. Zeman l’a positionné un cran au-dessus, côté droit. Zeman avait constaté qu’Alioski avait plus de qualités offensives que défensives.Il était à Schaffhausen (2e division suisse) où il évolué au poste de défenseur. Dès qu’il est arrivé à Lugano, il est resté latéral gauche. C’est en cours de saison qu’il a été repositionné plus haut. C’est à partir de ce moment-là que tout a commencé. »
La Premier League et la Bundesliga lui font les yeux doux
Devenu un joueur-clé des Bianconeri, Alioski est aujourd’hui un nom qui fait beaucoup parler en Suisse, car son contrat s’achève en juin 2018. Un détail qui n’a pas échappé aux formations anglaises, dont Leicester, belges, italiennes (Lazio Rome) et allemandes (Eintracht Francfort et le Bayer Leverkusen). « Oui, il lui reste un an. On confirme qu’il existe des intérêts allemands et anglais. Des demandes de renseignements en provenance d’Allemagne étaient déjà réalisées en janvier dernier. » Courtisé, Alioski pourrait donc être l’un des paris à tenter l’été prochain
Demandé par nos voisins anglais et allemands, Alioski saura-t-il également éveiller la curiosité des formations françaises ? Si aucun club hexagonal ne semble s’être positionné pour l’instant, les représentants du joueur ne se font pas de soucis. « Pour le moment, il n’y a rien eu, mais ça pourrait changer très vite au vu des qualités du joueur. Il a une bonne technique, il va très vite. Il est gaucher, mais il peut utiliser les deux pieds. Après, c’est vrai que sur l’aile droite, il a tendance à repiquer dans l’axe. C’est un joueur complet, il sait marquer et faire des passes décisives. » Avis aux amateurs.
Un latéral devenu buteur
Avec 16 réalisations au compteur en 34 rencontres, Alioski est le troisième meilleur artilleur de la ligue, derrière Hoarau (18) et Doumbia (20 buts). Mais ce n’est pas tout. En plus d’être finisseur, le natif de Prilep sait aussi gâter ses partenaires puisqu’il est le troisième meilleur passeur du championnat avec 14 offrandes. Un double double qui lui a permis de se faire un nom de l’autre côté des Alpes, d’autant que ce milieu offensif gaucher n’a pas débuté sa carrière à ce poste, comme nous l’a fait savoir la société qui gère ses intérêts, la Fairplay Agency.
« Il a commencé au poste de défenseur latéral gauche avec le BSC Young Boys (de 2010 à 2013). Mais sous les ordres de Zdeněk Zeman (l’ancien coach de l’AS Roma), qui était entraîneur de Lugano la saison dernière, il a changé de position. Zeman l’a positionné un cran au-dessus, côté droit. Zeman avait constaté qu’Alioski avait plus de qualités offensives que défensives.Il était à Schaffhausen (2e division suisse) où il évolué au poste de défenseur. Dès qu’il est arrivé à Lugano, il est resté latéral gauche. C’est en cours de saison qu’il a été repositionné plus haut. C’est à partir de ce moment-là que tout a commencé. »
La Premier League et la Bundesliga lui font les yeux doux
Devenu un joueur-clé des Bianconeri, Alioski est aujourd’hui un nom qui fait beaucoup parler en Suisse, car son contrat s’achève en juin 2018. Un détail qui n’a pas échappé aux formations anglaises, dont Leicester, belges, italiennes (Lazio Rome) et allemandes (Eintracht Francfort et le Bayer Leverkusen). « Oui, il lui reste un an. On confirme qu’il existe des intérêts allemands et anglais. Des demandes de renseignements en provenance d’Allemagne étaient déjà réalisées en janvier dernier. » Courtisé, Alioski pourrait donc être l’un des paris à tenter l’été prochain
Demandé par nos voisins anglais et allemands, Alioski saura-t-il également éveiller la curiosité des formations françaises ? Si aucun club hexagonal ne semble s’être positionné pour l’instant, les représentants du joueur ne se font pas de soucis. « Pour le moment, il n’y a rien eu, mais ça pourrait changer très vite au vu des qualités du joueur. Il a une bonne technique, il va très vite. Il est gaucher, mais il peut utiliser les deux pieds. Après, c’est vrai que sur l’aile droite, il a tendance à repiquer dans l’axe. C’est un joueur complet, il sait marquer et faire des passes décisives. » Avis aux amateurs.
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