Le refus de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) d’accorder à Abou Khalil Bourgi une autorisation de sortie du territoire pour se soigner à l’étranger n’est pas du goût de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO). En effet, malgré maintes arguments des avocats du prévenu, selon lesquels la vie de leur client serait en danger, la Cour spéciale campe sur sa position.
Ainsi « La RADDHO exprime sa vive préoccupation face au refus catégorique des autorités judiciaires de la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite (CREI) d’accorder l’autorisation à Monsieur Bibo Bourgi pour aller se soigner en Europe où le plateau médical est plus élevé » lit- on dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik. Et de poursuivre : « Malgré les rapports présentés par les autorités médicales et les nombreux appels lancés par les avocats de Monsieur Bourgi, les autorités judiciaires de la CREI persistent et signent qu’elles ne pourraient autoriser l’évacuation du malade vers d’autres services mieux outillés pour lui assurer des soins appropriés ».
Pour la RADDHO, « la vie d’une personne prime sur les raisons évoquées par les autorités judiciaires de la CREI et, par conséquent, demande à l’Etat du Sénégal de veiller au strict respect du droit à la vie et à la santé, consacré par la Constitution nationale et les Instruments juridiques régionaux et internationaux qu’ils a signés et ratifiés ».
Ainsi « La RADDHO exprime sa vive préoccupation face au refus catégorique des autorités judiciaires de la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite (CREI) d’accorder l’autorisation à Monsieur Bibo Bourgi pour aller se soigner en Europe où le plateau médical est plus élevé » lit- on dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik. Et de poursuivre : « Malgré les rapports présentés par les autorités médicales et les nombreux appels lancés par les avocats de Monsieur Bourgi, les autorités judiciaires de la CREI persistent et signent qu’elles ne pourraient autoriser l’évacuation du malade vers d’autres services mieux outillés pour lui assurer des soins appropriés ».
Pour la RADDHO, « la vie d’une personne prime sur les raisons évoquées par les autorités judiciaires de la CREI et, par conséquent, demande à l’Etat du Sénégal de veiller au strict respect du droit à la vie et à la santé, consacré par la Constitution nationale et les Instruments juridiques régionaux et internationaux qu’ils a signés et ratifiés ».
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