L’afflux des réfugiés de la Gambie ne cesse d’augmenter à cause de l’intransigeance du Président sortant de la Gambie, M. Yahya Jammeh. Et, selon le CONGAD, «aucun dispositif crédible n’est mis en place, ni du côté du Gouvernement du Sénégal, encore moins de celui du Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR)».
A en croire les responsables de cellules régionales du CONGAD, ces réfugiés sont principalement originaires de l’Afrique de l’Ouest. Il s’agit de Gambiens, Sénégalais, Guinéens, Mauritaniens, Maliens et Ivoiriens. Beaucoup parmi eux sont arrivés au Sénégal, notamment à Ziguinchor, Kolda et à Kaolack, pour se réfugier auprès de leurs parents sénégalais.
Face à cette situation difficile et sans précédent dans l’histoire des peuples gambiens et sénégalais, le Président du Conseil d’administration, Amacodou DIOUF, lance un vibrant appel à toutes les ONG membres et non membres du CONGAD à se mobiliser. «Elles doivent apporter secours et assistance aux réfugiés et porter la voix contre la guerre», avance-t-il.
Et, d’ajouter : «Nous sonnons l’alerte pour que la situation des personnes déplacées ne se transforme en crise humanitaire, pour soulager les familles d’accueil et pour prémunir le Sénégal des problèmes d’insécurité que pourrait entraîner l’arrivée massive de populations désœuvrées».
A en croire les responsables de cellules régionales du CONGAD, ces réfugiés sont principalement originaires de l’Afrique de l’Ouest. Il s’agit de Gambiens, Sénégalais, Guinéens, Mauritaniens, Maliens et Ivoiriens. Beaucoup parmi eux sont arrivés au Sénégal, notamment à Ziguinchor, Kolda et à Kaolack, pour se réfugier auprès de leurs parents sénégalais.
Face à cette situation difficile et sans précédent dans l’histoire des peuples gambiens et sénégalais, le Président du Conseil d’administration, Amacodou DIOUF, lance un vibrant appel à toutes les ONG membres et non membres du CONGAD à se mobiliser. «Elles doivent apporter secours et assistance aux réfugiés et porter la voix contre la guerre», avance-t-il.
Et, d’ajouter : «Nous sonnons l’alerte pour que la situation des personnes déplacées ne se transforme en crise humanitaire, pour soulager les familles d’accueil et pour prémunir le Sénégal des problèmes d’insécurité que pourrait entraîner l’arrivée massive de populations désœuvrées».
«Le Gouvernement et le HCR doit se concerter en urgence, en y associant toutes les bonnes volontés, pour trouver une solution à cette situation précaire», conclut Amacodou Diouf.
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