Dans son rapport qu'il vient de rendre public Amnesty international soutient que « le Sénégal s'est engagé à protéger les droits à la liberté d'expression, d'association et de réunion, et à veiller à ce que ses forces de sécurité maintiennent l'ordre public sans recours excessif à la force ».
Toutefois, une complainte surgit sur le rejet des recommandations l'invitant à ratifier le Deuxième Protocole facultatif se rapportant « au Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), en vue d'abolir la peine de mort, bien qu'il se soit engagé à le faire en décembre 2013 ». Mais l'autre question qu'il cherche à imposer et que le peuple ne veut pas en entendre parler reste les recommandations l'invitant à modifier sa législation nationale afin de protéger les lesbiennes, les gays et les personnes bisexuelles, transgenres ou intersexuées (LGBTI) contre la discrimination. Ainsi, le Sénégal a répondu « qu'il n'y avait pas de cas de disparition forcée au Sénégal, malgré les préoccupations exprimées à maintes reprises par Amnesty International ».
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