«Samba Sow nous a rapporté que le ou les commanditaires sont à l’Apr», a déclaré Moctar Ndiaye, frère de Fatoumata Moctar Ndiaye en marge de la cérémonie de prière pour le repos de son âme. Cette occasion a fait office de tribune à la famille de la 5ième vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese), pour accuser des membres de l’Apr d'être derrière cet acte odieux.
Dans les colonnes du journal «Les Echos», M. Ndiaye soutient que, il liste les griefs contre l'Etat qui seraient : «La non constitution de l’Etat en tant que partie civile, ne serait-ce que par l’intermédiaire du Conseil économique social et environnemental où la regrettée Fatoumata Moctar Ndiaye occupait les fonctions de 5e vice-présidente, la non-assistance de notre famille par au moins un avocat constitué par l’Etat et l’absence ou le manque d’approfondissement de l’enquête dès lors que le criminel a reconnu ce que tout le monde soupçonnait».
Très en verve, le frère de la victime martèle : «Il s’agit d’un crime commandité et non un crime au mobile financier comme prétendument indiqué auparavant. A notre connaissance, les personnes incriminées ne seraient toujours pas entendues. Notre souhait est de voir cette affaire jugée très rapidement, avant que quelque chose de regrettable n’arrive au présumé meurtrier qui, d’après certaines sources, serait menacé de mort».
Dans les colonnes du journal «Les Echos», M. Ndiaye soutient que, il liste les griefs contre l'Etat qui seraient : «La non constitution de l’Etat en tant que partie civile, ne serait-ce que par l’intermédiaire du Conseil économique social et environnemental où la regrettée Fatoumata Moctar Ndiaye occupait les fonctions de 5e vice-présidente, la non-assistance de notre famille par au moins un avocat constitué par l’Etat et l’absence ou le manque d’approfondissement de l’enquête dès lors que le criminel a reconnu ce que tout le monde soupçonnait».
Très en verve, le frère de la victime martèle : «Il s’agit d’un crime commandité et non un crime au mobile financier comme prétendument indiqué auparavant. A notre connaissance, les personnes incriminées ne seraient toujours pas entendues. Notre souhait est de voir cette affaire jugée très rapidement, avant que quelque chose de regrettable n’arrive au présumé meurtrier qui, d’après certaines sources, serait menacé de mort».
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