Le nom «Abou Djafar al Senegali» signifiant tout simplement Abou Djafar, le Sénégalais est en ce moment sur les lèvres de beaucoup de ses compatriotes. Certains n’arrivent pas à comprendre comment il en est arrivé à devenir un kamikaze. D’autres se demandent même s’il est vraiment de nationalité sénégalaise. Quoi qu’il en soit, cette nouvelle n’a pas manqué de soulever la question d’une possible menace terroriste dans le pays de la "Téranga" (hospitalité).
Ainsi, le prédicateur Maodo Faye, a rappelé ce qu’il dénonçait déjà il y a de cela deux (2) ans à savoir l’enrôlement de jeunes sénégalais dans des mouvements qui réclament l’instauration d’un Islam radical dans le pays. Cet animateur d’émission religieuse appelle à plus de vigilance car selon lui, il est difficile d’identifier à l’œil nu, ces mouvements qui se sont établis un peu partout dans la sous-région et donc le Sénégal n’est pas à l’abri.
De son côté, Imam Hassan Seck, islamologue et premier vice-président de la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal assure dans "Enquête" qu’il faudrait savoir raison garder. En effet, de son point de vue, un sénégalais infecté par le « virus » du radicalisme n’a pu l’être que de l’extérieur. Pour lui, ce kamikaze a certainement fait l’objet d’un endoctrinement profond car cela est contraire à nos croyances religieuses.
Par ailleurs, cette menace terroriste, est prise au sérieux par le Président Macky Sall qui a depuis quelques années, renforcé le dispositif sécuritaire dans le pays. L’armée sénégalaise s’est récemment dotée de trois drones et hélicoptères de combat pour venir à bout du terrorisme.
Ainsi, le prédicateur Maodo Faye, a rappelé ce qu’il dénonçait déjà il y a de cela deux (2) ans à savoir l’enrôlement de jeunes sénégalais dans des mouvements qui réclament l’instauration d’un Islam radical dans le pays. Cet animateur d’émission religieuse appelle à plus de vigilance car selon lui, il est difficile d’identifier à l’œil nu, ces mouvements qui se sont établis un peu partout dans la sous-région et donc le Sénégal n’est pas à l’abri.
De son côté, Imam Hassan Seck, islamologue et premier vice-président de la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal assure dans "Enquête" qu’il faudrait savoir raison garder. En effet, de son point de vue, un sénégalais infecté par le « virus » du radicalisme n’a pu l’être que de l’extérieur. Pour lui, ce kamikaze a certainement fait l’objet d’un endoctrinement profond car cela est contraire à nos croyances religieuses.
Par ailleurs, cette menace terroriste, est prise au sérieux par le Président Macky Sall qui a depuis quelques années, renforcé le dispositif sécuritaire dans le pays. L’armée sénégalaise s’est récemment dotée de trois drones et hélicoptères de combat pour venir à bout du terrorisme.
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