Le rapport de l’Observatoire de la démocratie et des droits de l’homme (ODDH) ne fait aucune concession. Dans tous les domaines de la vie, la discrimination et l’exclusion persistent. A titre d’exemple, le rapport relève l’interdiction du port du voile dans certains établissements d’enseignement.
Les conflits liés à l’accès à la terre sont devenus le lieu de « graves violations des droits de l’homme » et une menace à la paix sociale au Burkina, souligne le rapport. Environ 400 habitants d’un quartier de la capitale ont été expropriés des terres par l’Etat selon l’ODDH.
La torture s’est accentuée au Burkina Faso avec l’avènement des groupes d’auto-défense appelés Koglweogo. Ces structures pratiquent les pires formes de torture sur les personnes, souligne l’Observatoire des droits de l’homme.
Dans ce rapport de 19 pages, la justice est qualifiée « d’arbitraire et instrumentalisée », au service des puissants au Burkina Faso. En somme, les atteintes et violations des instruments et mécanismes de protection des droits de l’homme placent le pays dans une mauvaise posture, selon l’Observatoire de la démocratie et des droits de l’homme. Aussi bien les pouvoirs publics que les citoyens sont devenus insensibles, voire passifs, quand des violations des droits de l’homme ont cours ces derniers temps au Burkina Faso, déplore l’ODDH.
Les conflits liés à l’accès à la terre sont devenus le lieu de « graves violations des droits de l’homme » et une menace à la paix sociale au Burkina, souligne le rapport. Environ 400 habitants d’un quartier de la capitale ont été expropriés des terres par l’Etat selon l’ODDH.
La torture s’est accentuée au Burkina Faso avec l’avènement des groupes d’auto-défense appelés Koglweogo. Ces structures pratiquent les pires formes de torture sur les personnes, souligne l’Observatoire des droits de l’homme.
Dans ce rapport de 19 pages, la justice est qualifiée « d’arbitraire et instrumentalisée », au service des puissants au Burkina Faso. En somme, les atteintes et violations des instruments et mécanismes de protection des droits de l’homme placent le pays dans une mauvaise posture, selon l’Observatoire de la démocratie et des droits de l’homme. Aussi bien les pouvoirs publics que les citoyens sont devenus insensibles, voire passifs, quand des violations des droits de l’homme ont cours ces derniers temps au Burkina Faso, déplore l’ODDH.
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