Hier seulement nous insistions par rapport au manque de respect des autorités sénégalaises vis-à-vis du monde de la presse, voilà qu’aujourd’hui, ils en rajoutent une couche, semble dire le secrétaire général du SYNPICS qui, réagissant sur la nomination de Bara Ndiaye comme administrateur de la « Maison de la presse », n’y va pas du dos de la cuillère.
«Il faut considérer que la Maison de la presse a été érigée par Wade après le combat mené par des professionnels des média. Les autorités ont consenti à le faire, il y a eu des concertations à Saly notamment pour voir comment gérer la « Maison de la presse ». Et un conseil d’administration avait été formé depuis plusieurs années. On ne s’est jamais réuni et on se lève du jour au lendemain pour dire que Bara Ndiaye a été nommé. Alors qu’on ne nous a pas dit quels sont les critères ? Comment il a été nommé ? Pourquoi ? », égratigne le journaliste.
Ce, d’autant plus « qu’on sait que c’est un politique », martèle-t-il en précisant toutefois que « ce n’est pas la personne de Bara Ndiaye qui nous intéresse en tant que tel ». Mais, « c’est un drame de mettre des politiques ». Pis, « à travers cet acte, le gouvernement donne raison à ceux qui disent « le parti avant la patrie », charge Ibrahima Khalilloulah Ndiaye qui sert qu’«il faudra en faire une « Maison de la presse où pas du tout », sur les ondes de la Rfm où l’administrateur qui marque sa volonté de ne pas entrer dans la polémique, se dit « concentré à mener à bien sa mission ».
«Il faut considérer que la Maison de la presse a été érigée par Wade après le combat mené par des professionnels des média. Les autorités ont consenti à le faire, il y a eu des concertations à Saly notamment pour voir comment gérer la « Maison de la presse ». Et un conseil d’administration avait été formé depuis plusieurs années. On ne s’est jamais réuni et on se lève du jour au lendemain pour dire que Bara Ndiaye a été nommé. Alors qu’on ne nous a pas dit quels sont les critères ? Comment il a été nommé ? Pourquoi ? », égratigne le journaliste.
Ce, d’autant plus « qu’on sait que c’est un politique », martèle-t-il en précisant toutefois que « ce n’est pas la personne de Bara Ndiaye qui nous intéresse en tant que tel ». Mais, « c’est un drame de mettre des politiques ». Pis, « à travers cet acte, le gouvernement donne raison à ceux qui disent « le parti avant la patrie », charge Ibrahima Khalilloulah Ndiaye qui sert qu’«il faudra en faire une « Maison de la presse où pas du tout », sur les ondes de la Rfm où l’administrateur qui marque sa volonté de ne pas entrer dans la polémique, se dit « concentré à mener à bien sa mission ».
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