Maimouna Diarra a signé en Mai dernier chez les championnes en titre, les Sparks de Los Angeles et devient ainsi la deuxième Sénégalaise, après Astou Ndiaye à rejoindre la WNBA (Woman’s National Basketball Association ou la ligue nationale féminine de Basketball américaine).
Ce matin, elle a répondu aux questions du journal Stade concernant son intégration dans le championnat de Basket féminin américain.
Concernant ses débuts en WNBA, la joueuse reconnait que les premiers jours avec son nouveau club étaient difficiles. Surtout avec la barrière de la langue. Insiste-t-elle. Avant de rassurer que maintenant, sur ce point tout se passe bien. Elle s’entraine, se développe tous les jours. Elle renchérit « je suis en train de m’adapter et d’apprendre les systèmes, mais aussi les styles de jeu dans sa rigueur, son efficacité et sa technicité ».
La différence entre la WNBA et les autres championnats dans les quels elle a pu y évoluer se trouve selon elle sur beaucoup d’aspects. En effet, Maimouna Diarra pense que la concurrence est plus élevée, le jeu est plus rapide et plus précis dans ses exécutions et les matchs sont plus rapprochés à la WNBA.
Et à la question portant sur le fait qu’elle soit la deuxième joueuse Sénégalaise à intégrer la ligue américaine de Basket, elle répond que c’est un fait. Ainsi, elle manifeste sa satisfaction et remercie son manager Ibrahima Ndiaye qui a cru en elle depuis le début, avant d’espérer motiver les jeunes filles qui vont venir à croire en elles et les invite à aller plus loin.
L’internationale Sénégalaise, révèle dans cette interview qu’elle peut manquer à l’équipe, mais l’équipe nationale lui manque encore plus. Car selon elle c’est une grande fierté et un honneur de jouer pour sa patrie. Mais, dit-elle, elle reste disponible pour l’équipe à chaque fois que l’occasion se présentera.
Ce matin, elle a répondu aux questions du journal Stade concernant son intégration dans le championnat de Basket féminin américain.
Concernant ses débuts en WNBA, la joueuse reconnait que les premiers jours avec son nouveau club étaient difficiles. Surtout avec la barrière de la langue. Insiste-t-elle. Avant de rassurer que maintenant, sur ce point tout se passe bien. Elle s’entraine, se développe tous les jours. Elle renchérit « je suis en train de m’adapter et d’apprendre les systèmes, mais aussi les styles de jeu dans sa rigueur, son efficacité et sa technicité ».
La différence entre la WNBA et les autres championnats dans les quels elle a pu y évoluer se trouve selon elle sur beaucoup d’aspects. En effet, Maimouna Diarra pense que la concurrence est plus élevée, le jeu est plus rapide et plus précis dans ses exécutions et les matchs sont plus rapprochés à la WNBA.
Et à la question portant sur le fait qu’elle soit la deuxième joueuse Sénégalaise à intégrer la ligue américaine de Basket, elle répond que c’est un fait. Ainsi, elle manifeste sa satisfaction et remercie son manager Ibrahima Ndiaye qui a cru en elle depuis le début, avant d’espérer motiver les jeunes filles qui vont venir à croire en elles et les invite à aller plus loin.
L’internationale Sénégalaise, révèle dans cette interview qu’elle peut manquer à l’équipe, mais l’équipe nationale lui manque encore plus. Car selon elle c’est une grande fierté et un honneur de jouer pour sa patrie. Mais, dit-elle, elle reste disponible pour l’équipe à chaque fois que l’occasion se présentera.
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