C'est fait, le verdict est tombé mais bien avant l'heure. L'ancien ministre de la Jeunesse Benoit Sambou déclare qu'il a la conviction que Karim Wade est coupable. Mais cette déclaration intervient avant même que la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) ne finisse son jugement.
« Personnellement, en tant que responsable politique, j'ai toujours attiré l'attention des Sénégalais sur les conséquences graves de la gestion d'Abdoulaye Wade au pouvoir et de l'immixtion fracassante de son fils dans la marche de l'Etat » a soutenu l'ancien ministre de la Jeunesse.
D'ailleurs, le responsable de l'Apr n'est pas empêché de mettre Karim Wade dans la peau du coupable. « Ma conviction est que Karim Wade est coupable. S'il ne l'est pas, qu'il soit libéré. Mais je reste persuadé que Karim Wade s'est amusé avec les ressources de l'Etat, tout comme ses amis » constitue Benoit Sambou.
Loin de se suffire à ses conviction, il ajoute que c'est malheureux car selon lui, « celui qui devait être au devant, c'est Abdoulaye Wade, car c'est lui qui a permis tout cela. C'est lui qui a installé dans ce pays les conditions de la gabegie », déclare Benoit Sambou dans un entretien avec « Sud Quotidien ».
« Personnellement, en tant que responsable politique, j'ai toujours attiré l'attention des Sénégalais sur les conséquences graves de la gestion d'Abdoulaye Wade au pouvoir et de l'immixtion fracassante de son fils dans la marche de l'Etat » a soutenu l'ancien ministre de la Jeunesse.
D'ailleurs, le responsable de l'Apr n'est pas empêché de mettre Karim Wade dans la peau du coupable. « Ma conviction est que Karim Wade est coupable. S'il ne l'est pas, qu'il soit libéré. Mais je reste persuadé que Karim Wade s'est amusé avec les ressources de l'Etat, tout comme ses amis » constitue Benoit Sambou.
Loin de se suffire à ses conviction, il ajoute que c'est malheureux car selon lui, « celui qui devait être au devant, c'est Abdoulaye Wade, car c'est lui qui a permis tout cela. C'est lui qui a installé dans ce pays les conditions de la gabegie », déclare Benoit Sambou dans un entretien avec « Sud Quotidien ».
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