‘’Le gouvernement étudie la possibilité de la fermeture des frontières le jour du scrutin’’ a déclaré le ministre Zagré lors d’un point de presse du gouvernement.
Il est également prévu la mobilisation de moyens aériens en vue d’assurer la sécurisation des bureaux de vote, des 16.000 observateurs, des journalistes accrédités, des membres de la Commission électorale nationale indépendantes et des centres de compilation des différents résultats, a ajouté le colonel Zagré.
Sans vouloir donner l’impression d’être en état de guerre, le ministre en charge de la sécurité du pays Burkina, déjà en alerte depuis le putsch du désormais ex-régiment de sécurité présidentielle (RSP), a promis que le dispositif de sécurité sera très discret afin de ne pas créer la panique.
A quelques jours de ce vote crucial pour les burkinabè, les autorités ont par ailleurs intensifié les contrôles inopinés d’identités "de jour comme de nuit" dans l’ensemble du pays.
Pour la sécurité de ces élections devant mettre un terme à la transition entamée depuis la chute de Blaise Compaoré, chassé par la rue en octobre 2014 après 27 ans au pouvoir, un important dispositif sécuritaire de 25.000 hommes a été mis en place sur l’ensemble du territoire national.
Par ailleurs, le couvre-feu instauré depuis le putsch manqué du 16 septembre est toujours en vigueur sur toute l'étendue du territoire national (01h00 à 04h00 du matin).
Selon les responsables de la CENI, ces élections devant mettre un terme à la transition entamée depuis la chute de Blaise Compaoré en octobre 2014, vont couter au budget de l’Etat environ34 milliards de francs CFA.
Evoquant l’attaque perpétrée début octobre par une cinquantaine d’hommes armés non encore identifiés venant des frontières ouest du Burkina sur la brigade de gendarmerie de Samorogouan, le ministre Zagré a indiqué que les investigations, qui se poursuivent toujours, ont d’ores et déjà permis de mettre aux arrêts 13 personnes.
source:koaci.com
Il est également prévu la mobilisation de moyens aériens en vue d’assurer la sécurisation des bureaux de vote, des 16.000 observateurs, des journalistes accrédités, des membres de la Commission électorale nationale indépendantes et des centres de compilation des différents résultats, a ajouté le colonel Zagré.
Sans vouloir donner l’impression d’être en état de guerre, le ministre en charge de la sécurité du pays Burkina, déjà en alerte depuis le putsch du désormais ex-régiment de sécurité présidentielle (RSP), a promis que le dispositif de sécurité sera très discret afin de ne pas créer la panique.
A quelques jours de ce vote crucial pour les burkinabè, les autorités ont par ailleurs intensifié les contrôles inopinés d’identités "de jour comme de nuit" dans l’ensemble du pays.
Pour la sécurité de ces élections devant mettre un terme à la transition entamée depuis la chute de Blaise Compaoré, chassé par la rue en octobre 2014 après 27 ans au pouvoir, un important dispositif sécuritaire de 25.000 hommes a été mis en place sur l’ensemble du territoire national.
Par ailleurs, le couvre-feu instauré depuis le putsch manqué du 16 septembre est toujours en vigueur sur toute l'étendue du territoire national (01h00 à 04h00 du matin).
Selon les responsables de la CENI, ces élections devant mettre un terme à la transition entamée depuis la chute de Blaise Compaoré en octobre 2014, vont couter au budget de l’Etat environ34 milliards de francs CFA.
Evoquant l’attaque perpétrée début octobre par une cinquantaine d’hommes armés non encore identifiés venant des frontières ouest du Burkina sur la brigade de gendarmerie de Samorogouan, le ministre Zagré a indiqué que les investigations, qui se poursuivent toujours, ont d’ores et déjà permis de mettre aux arrêts 13 personnes.
source:koaci.com
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