Après la nomination de la direction du CNSA en RDC hier samedi, le président de l'Assemblée nationale et secrétaire général de la majorité présidentielle, Aubin Minaku ne cache pas sa satisfaction, en parlant d'une structure essentielle dans l'organisation des élections. Il appelle ce qu'il qualifie de « l'autre aile du Rassemblement » à participer à un processus qui sera, dit-il, transparent.
« L’installation du CNSA est un symbole important, démontrant que le cap sur les élections est réel et que, dans un délai responsable, nous allons de nouveau affronter le peuple. Voilà, c’est un motif de satisfaction pour la majorité présidentielle. L’essentiel c’est qu’il y a des composantes de la majorité et de l’opposition qui sont au bureau du CNSA et qui ont décidé d’œuvrer pour les élections. L’essentiel aussi c’est que la porte n’est pas fermée pour les autres ».
RFI: l’opposition historique ne fait pas partie de ce conseil, est-ce qu’en l’état vous pensez que le processus peut aller de l’avant en RDC ?
« S’il y a un parti politique qui continue à tergiverser par rapport notamment au CNSA, par rapport au calendrier électoral qui sera dans un temps proche présenté à la population, c’est que ce parti cherche plutôt à trainer la population dans une approche plutôt insurrectionnelle, ce n’est pas démocratique et c’est inacceptable ».
« L’installation du CNSA est un symbole important, démontrant que le cap sur les élections est réel et que, dans un délai responsable, nous allons de nouveau affronter le peuple. Voilà, c’est un motif de satisfaction pour la majorité présidentielle. L’essentiel c’est qu’il y a des composantes de la majorité et de l’opposition qui sont au bureau du CNSA et qui ont décidé d’œuvrer pour les élections. L’essentiel aussi c’est que la porte n’est pas fermée pour les autres ».
RFI: l’opposition historique ne fait pas partie de ce conseil, est-ce qu’en l’état vous pensez que le processus peut aller de l’avant en RDC ?
« S’il y a un parti politique qui continue à tergiverser par rapport notamment au CNSA, par rapport au calendrier électoral qui sera dans un temps proche présenté à la population, c’est que ce parti cherche plutôt à trainer la population dans une approche plutôt insurrectionnelle, ce n’est pas démocratique et c’est inacceptable ».
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