Avec plus de 230 000 producteurs de mil au Sénégal et plus de 3,9 millions en Afrique de l’Ouest et la majorité de ces dernières utilisant toujours la méthode traditionnelle du mortier et pilon pour le battage du mil, le besoin et la demande pour des technologies améliorées et appropriées est importante.
Programme post-récolte pour renforcer la compétitivité de la chaîne de valeur mil au Sénégal, le projet Compatible Technology International (CTI)/ USAID/Yombal mbojj a « pour but de bâtir au Sénégal, une chaine d’approvisionnement d’équipements de battage appropriés et une chaîne de valeur génératrice de revenus et de valeur pour les petits producteurs principalement les femmes », précise la note parvenue à PressAfrik.com.
«Développer les capacités locales de fabrication et de distribution de technologies post-récoltes du mil améliorées et conçues pour les petits producteurs principalement les femmes, créer un modèle financier, un plan d’affaire et des modules de formation technique pour accompagner des entreprises rentables développées au sein des petits producteurs avec des technologies post-récoltes, renforcer la sensibilisation par rapport aux technologies post-récoltes et les opportunités de marché des grains de haute qualité, améliorer la disponibilité de grains de mil de qualité produits et transformés » sont les objectifs spécifiques pour « la disponibilité et l’accessibilité de technologies post-récoltes du mil pour les petits producteurs est améliorée ».
Mieux, « les relations entre les petits producteurs de mil et les opérateurs de marché du mil de qualité sont renforcées, les liens entre petits producteurs de mil utilisant les technologies et les opérateurs du mil de qualité sont multipliés, formalisés et renforcés. Les pertes quantitatives et qualitatives post-récolte sont réduites. Les revenus des petits producteurs et transformateurs de mil sont améliorés ». Et, « la fourniture du marché sénégalais en mil de qualité est augmentée ».
En sa qualité de présidente du conseil d’orientation de CTI, Aminata Touré a lancé le projet.
« Le gouvernement du Sénégal dans le cadre du Plan Sénégal Emergent (PSE), considère l’agriculture comme un secteur prioritaire de relance de l’économie. Spécifiquement le mil est une culture socialement important étant le principal aliment pour les événements culturels et religieux, Il fait vivre plus de 300 000 familles et contribue beaucoup à la sécurité alimentaire », a-t-elle souligné.
Et d’ajouter : « L’agriculture pour plusieurs contraintes dont l’accès à la terre, le changement climatique pour ne citer que ces contraintes naturelles à besoins d’une stratégie plus globale pour assurer sa contribution optimale à la sécurité alimentaire et à la réduction de l’incidence de la pauvreté dans notre pays ».
Les petits producteurs surtout les femmes confrontés à de nombreuses contraintes tels que l’accès aux marchés rémunérateurs, l’accès aux technologies et notamment les technologies post-récoltes et l’accès à l’information pour une bonne prise de décision, il s’agira, selon l’Envoyée spéciale du Chef de l’Etat « d’introduire des outils, de créer l’incitation et la formation pour que l’artisanat local ait toutes les capacités pour la fabrication, la maintenance et la distribution des technologies, de développer des modèles de plan d’affaire économiquement rentables pour les organisations de femmes dans le but de contribuer à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté, de fournir au marché national et/ou International des produits alimentaires de haute qualité sanitaire et nutritive et de renforcer la sensibilisation sur l’importance de l’utilisation des technologies pour la rentabilité et la compétitivité des entreprises agricoles, artisanales et de transformation agroalimentaire…».
En partenariat avec les organisations de femmes et les acteurs du système de national et conseil et de recherche agricole et rural, le projet USAID|Yombal mbojj interviendra à Fatick, Kaffrine, Kaolack et Kolda.
Programme post-récolte pour renforcer la compétitivité de la chaîne de valeur mil au Sénégal, le projet Compatible Technology International (CTI)/ USAID/Yombal mbojj a « pour but de bâtir au Sénégal, une chaine d’approvisionnement d’équipements de battage appropriés et une chaîne de valeur génératrice de revenus et de valeur pour les petits producteurs principalement les femmes », précise la note parvenue à PressAfrik.com.
«Développer les capacités locales de fabrication et de distribution de technologies post-récoltes du mil améliorées et conçues pour les petits producteurs principalement les femmes, créer un modèle financier, un plan d’affaire et des modules de formation technique pour accompagner des entreprises rentables développées au sein des petits producteurs avec des technologies post-récoltes, renforcer la sensibilisation par rapport aux technologies post-récoltes et les opportunités de marché des grains de haute qualité, améliorer la disponibilité de grains de mil de qualité produits et transformés » sont les objectifs spécifiques pour « la disponibilité et l’accessibilité de technologies post-récoltes du mil pour les petits producteurs est améliorée ».
Mieux, « les relations entre les petits producteurs de mil et les opérateurs de marché du mil de qualité sont renforcées, les liens entre petits producteurs de mil utilisant les technologies et les opérateurs du mil de qualité sont multipliés, formalisés et renforcés. Les pertes quantitatives et qualitatives post-récolte sont réduites. Les revenus des petits producteurs et transformateurs de mil sont améliorés ». Et, « la fourniture du marché sénégalais en mil de qualité est augmentée ».
En sa qualité de présidente du conseil d’orientation de CTI, Aminata Touré a lancé le projet.
« Le gouvernement du Sénégal dans le cadre du Plan Sénégal Emergent (PSE), considère l’agriculture comme un secteur prioritaire de relance de l’économie. Spécifiquement le mil est une culture socialement important étant le principal aliment pour les événements culturels et religieux, Il fait vivre plus de 300 000 familles et contribue beaucoup à la sécurité alimentaire », a-t-elle souligné.
Et d’ajouter : « L’agriculture pour plusieurs contraintes dont l’accès à la terre, le changement climatique pour ne citer que ces contraintes naturelles à besoins d’une stratégie plus globale pour assurer sa contribution optimale à la sécurité alimentaire et à la réduction de l’incidence de la pauvreté dans notre pays ».
Les petits producteurs surtout les femmes confrontés à de nombreuses contraintes tels que l’accès aux marchés rémunérateurs, l’accès aux technologies et notamment les technologies post-récoltes et l’accès à l’information pour une bonne prise de décision, il s’agira, selon l’Envoyée spéciale du Chef de l’Etat « d’introduire des outils, de créer l’incitation et la formation pour que l’artisanat local ait toutes les capacités pour la fabrication, la maintenance et la distribution des technologies, de développer des modèles de plan d’affaire économiquement rentables pour les organisations de femmes dans le but de contribuer à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté, de fournir au marché national et/ou International des produits alimentaires de haute qualité sanitaire et nutritive et de renforcer la sensibilisation sur l’importance de l’utilisation des technologies pour la rentabilité et la compétitivité des entreprises agricoles, artisanales et de transformation agroalimentaire…».
En partenariat avec les organisations de femmes et les acteurs du système de national et conseil et de recherche agricole et rural, le projet USAID|Yombal mbojj interviendra à Fatick, Kaffrine, Kaolack et Kolda.
Autres articles
-
🛑 [DIRECT] : Parlons d'actualités dans votre bloc d'information MidiKeng avec Mountaga Cissé et Thierno Guèye
-
Socé Saré Molo : Un incendie violent emporte un enfant de 8 ans
-
Audience avec les patrons de presse : Macky Sall « efface » la dette fiscale et annule les redevances des entreprises de presse
-
Université numérique Cheikh Hamidou Kane (ex UVS) : les étudiants réclament le paiement de 5 mois d’arriérés de bourses
-
Manifestation de juin 2023 : Les étudiants soupçonnés d’avoir incendié la bibliothèque de l’UCAD, les individus du bus Tata de Yarakh sont libres