Le Directeur commercial de la Société Africaine de Raffinage (SAR) précise sur la Rfm qu’«il n’y a pas vraiment de carburant toxique qui entre au Sénégal».
Selon Cheikh Tidiane Mbodj, «l’article qui a été publié au niveau du journal «Le Monde» compare un peu les spécificités du Sénégal par rapport aux spécificités européennes et américaines qui ne sont pas les mêmes».
Et dit-il : «C’est clair qu’entre l’Europe et l’Afrique, il y a des spécificités de produits pétroliers décidées par les gouvernements qui ne sont les mêmes. L’association des raffineurs africains, d’ailleurs, a répondu par rapport à ça. Ce n’est pas un problème de toxicité mais c’est en fait un problème de différence entre les produits acceptées par le Sénégal en terme de qualité et ceux qui sont utilisés en Europe et aux Etats-Unis».
Le Directeur commercial de la SAR explique qu’ «au Sénégal, il y a un contrôle supplémentaire qu’il va falloir faire, la raffinerie l’a toujours demandé, ce qui permettra d’éviter toute malversation ou autre sur la qualité du produit qui entre dans le pays». Et qu’«il faudrait savoir comment les échantillons ont été pris, les analyses faites».
Selon Cheikh Tidiane Mbodj, «l’article qui a été publié au niveau du journal «Le Monde» compare un peu les spécificités du Sénégal par rapport aux spécificités européennes et américaines qui ne sont pas les mêmes».
Et dit-il : «C’est clair qu’entre l’Europe et l’Afrique, il y a des spécificités de produits pétroliers décidées par les gouvernements qui ne sont les mêmes. L’association des raffineurs africains, d’ailleurs, a répondu par rapport à ça. Ce n’est pas un problème de toxicité mais c’est en fait un problème de différence entre les produits acceptées par le Sénégal en terme de qualité et ceux qui sont utilisés en Europe et aux Etats-Unis».
Le Directeur commercial de la SAR explique qu’ «au Sénégal, il y a un contrôle supplémentaire qu’il va falloir faire, la raffinerie l’a toujours demandé, ce qui permettra d’éviter toute malversation ou autre sur la qualité du produit qui entre dans le pays». Et qu’«il faudrait savoir comment les échantillons ont été pris, les analyses faites».
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