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Le commandement a transformé le Centre médical de garnison (Cmg) de Ziguinchor en un Centre hospitalier militaire (Chm) pour la meilleure prise en charge médicale des personnels militaires et leurs familles.
Selon le commandant de la zone militaire N°5, ce centre dont le coût global est estimé à 1,100 milliard correspondant à un hôpital de niveau 2.
A en croire le colonel Fulgence Ndour, il est composé d’un bloc chirurgical, d’une unité d’urgence, de radiologie et d’un laboratoire.
La dotation d’un plateau technique médical aussi performant, précise le commandant, consacre la montée en puissance des activités du service de santé des Armées en zone militaire n°5.
De poursuivre, ce centre à un double objectif : «d’abord il participe à la minimisation des risques de perte en vies humaines liées aux opérations par une plus rapide et plus efficiente prise en charge, tout en réduisant les évacuations sanitaires vers Dakar». «Ensuite, il constitue un appui considérablement aux autres structures médicales de la région pour la prise en charge des patients civils dans le cadre des activités civilo-militaires», indique le colonel Ndour.
Selon le commandant de la zone militaire N°5, ce centre dont le coût global est estimé à 1,100 milliard correspondant à un hôpital de niveau 2.
A en croire le colonel Fulgence Ndour, il est composé d’un bloc chirurgical, d’une unité d’urgence, de radiologie et d’un laboratoire.
La dotation d’un plateau technique médical aussi performant, précise le commandant, consacre la montée en puissance des activités du service de santé des Armées en zone militaire n°5.
De poursuivre, ce centre à un double objectif : «d’abord il participe à la minimisation des risques de perte en vies humaines liées aux opérations par une plus rapide et plus efficiente prise en charge, tout en réduisant les évacuations sanitaires vers Dakar». «Ensuite, il constitue un appui considérablement aux autres structures médicales de la région pour la prise en charge des patients civils dans le cadre des activités civilo-militaires», indique le colonel Ndour.
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