Face à une importante variation des précipitations et des phénomènes climatiques extrêmes telles que les inondations récurrentes, la sécheresse et l’érosion côtière, le monde entier a décidé de se soulever contre ces phénomènes dramatiques pour l’écosystème. C’est dans cette logique que les parlementaires se sont engagés à lutter contre les changements climatiques. Ils ont, dans le cadre du réseau des parlementaires pour la protection de l’environnement au Sénégal, organisé une ce vendredi 20 novembre une journée d’information et de sensibilisation.
Elle a été occasion de mettre à niveau les parlementaires sur le processus et les enjeux des négociations sur un nouveau régime climatique. Il a été, en même temps, agité l’idée de soutenir la position africaine commune lors des négociations à la conférence des nations unies sur les changements climatiques qui se tiendra du 7 au 19 décembre à Copenhague (Danemark).
Le président de l’Assemblée nationale, Mamadou Seck, a alerté les participants au panel sur l’urgence de réagir face à ce fléau. Et d’ajouter : «les changements climatiques constituent une inquiétante réalité. Ils sont marqués par la fréquence et l’intensité des inondations et autres phénomènes catastrophiques». Mamadou Seck a, ainsi, estimé que «les parlementaires ont un rôle important à jouer».
Le président de l’Assemblée nationale a rappelé que «les parlementaires sont des législateurs. Ils ont des dispositions légales qui peuvent permettre de limiter les dégâts».
Il a, en outre, fait savoir que «ces parlementaires peuvent sensibiliser les populations sur les méfaits des changements climatiques».
Elle a été occasion de mettre à niveau les parlementaires sur le processus et les enjeux des négociations sur un nouveau régime climatique. Il a été, en même temps, agité l’idée de soutenir la position africaine commune lors des négociations à la conférence des nations unies sur les changements climatiques qui se tiendra du 7 au 19 décembre à Copenhague (Danemark).
Le président de l’Assemblée nationale, Mamadou Seck, a alerté les participants au panel sur l’urgence de réagir face à ce fléau. Et d’ajouter : «les changements climatiques constituent une inquiétante réalité. Ils sont marqués par la fréquence et l’intensité des inondations et autres phénomènes catastrophiques». Mamadou Seck a, ainsi, estimé que «les parlementaires ont un rôle important à jouer».
Le président de l’Assemblée nationale a rappelé que «les parlementaires sont des législateurs. Ils ont des dispositions légales qui peuvent permettre de limiter les dégâts».
Il a, en outre, fait savoir que «ces parlementaires peuvent sensibiliser les populations sur les méfaits des changements climatiques».
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