Le leader du FSD/ BJ remet une couche. Cheikh Bamba Dieye accuse le gouvernement de mettre un voile opaque sur la gestion des ressources du pays. «La lecture que nous avons de la gestion des ressources gazières et pétrolières, ne prête pas à la sérénité», accuse-t-il. «Nous sommes dans une sorte de ténèbres qu’on entretient et cela n’est pas bon», enfonce le membre de l’opposition.
Invité de l’émission «Opinion» sur Walf tv, l’ancien ministre de la Communication persiste et signe : «Si nous faisons de l’aventurisme de bas étage, on risque de nous engluer et surtout d’entraîner le pays dans des contrats qui vont nous amener des conflits à n’en plus finir».
Pis, selon lui, «il y a des gens qui sont là et qui sont intéressés que par des commissions et qui mettent à mal les intérêts stratégiques de notre pays et l’enfoncent dans un trou où il sera extrêmement difficile de le sortir».
Cheikh Bamba Dieye se pose la question «pourquoi la Mauritanie a été capable de traiter directement avec Kosmos et que le Sénégal a eu besoin de traiter plusieurs intermédiaires». Avant de s’insurger contre les 10 % que récolte l’Etat dans l’exploitation de ces ressources.
«On veut nous faire accepter les 10 % alors qu’on nous dise ce que l’Angleterre gagne sur le pétrole de la mer du Nord ou ce que les Etats Unis gagnent sur le gaz Schiste ou enfin ce que l’Arabie Saoudite gagne sur son pétrole. Si ces pays ont 10 % le débat est clos», martèle-t-il.
Invité de l’émission «Opinion» sur Walf tv, l’ancien ministre de la Communication persiste et signe : «Si nous faisons de l’aventurisme de bas étage, on risque de nous engluer et surtout d’entraîner le pays dans des contrats qui vont nous amener des conflits à n’en plus finir».
Pis, selon lui, «il y a des gens qui sont là et qui sont intéressés que par des commissions et qui mettent à mal les intérêts stratégiques de notre pays et l’enfoncent dans un trou où il sera extrêmement difficile de le sortir».
Cheikh Bamba Dieye se pose la question «pourquoi la Mauritanie a été capable de traiter directement avec Kosmos et que le Sénégal a eu besoin de traiter plusieurs intermédiaires». Avant de s’insurger contre les 10 % que récolte l’Etat dans l’exploitation de ces ressources.
«On veut nous faire accepter les 10 % alors qu’on nous dise ce que l’Angleterre gagne sur le pétrole de la mer du Nord ou ce que les Etats Unis gagnent sur le gaz Schiste ou enfin ce que l’Arabie Saoudite gagne sur son pétrole. Si ces pays ont 10 % le débat est clos», martèle-t-il.
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