«Il y a eu des évolutions parce que son procès a été fixé depuis avant-hier et il a eu lieu après plusieurs report à la demande de l’ambassadeur du Sénégal à Ryad. En fin de compte, un cabinet d’avocat a été commis par le gouvernement du Sénégal dont les frais s’élèvent à 40 millions pour l’assister parce qu’il s’agissait d’une assistance diplomatique. Le jugement a eu lieu, malheureusement notre compatriote a été condamnée à mort», a expliqué le directeur des sénégalais de l’extérieur.
Sory Kaba de préciser que : «la sentence ne sera pas systématiquement exécutée. Mais il serra question de donner encore de la chance à Mbayang Diop, dans le sens où la justice doit recueillir l’avis des enfants de la victime, et ils sont encore mineurs».
Donc, a-t-il ajouté, «on doit attendre le temps que ces enfants arrivent à l’âge de majorité pour qu’on puisse demander leur avis. Et, peut être que la clémence pourrait être dite à sa faveur. Ce qui veut dire donc que rien n’est perdu».
Toutefois, «l’ambassade du Sénégal à Ryad qui, depuis le début, n’a cessé à chaque fois que de besoin, à rendre visite à Mbayang, va continuer à apporter toute l’assistance consulaire aux côtés du cabinet commis pour que sa défense puisse se faire dans les conditions prévues par la loi saoudienne», a rassuré Sory Kaba.
Sory Kaba de préciser que : «la sentence ne sera pas systématiquement exécutée. Mais il serra question de donner encore de la chance à Mbayang Diop, dans le sens où la justice doit recueillir l’avis des enfants de la victime, et ils sont encore mineurs».
Donc, a-t-il ajouté, «on doit attendre le temps que ces enfants arrivent à l’âge de majorité pour qu’on puisse demander leur avis. Et, peut être que la clémence pourrait être dite à sa faveur. Ce qui veut dire donc que rien n’est perdu».
Toutefois, «l’ambassade du Sénégal à Ryad qui, depuis le début, n’a cessé à chaque fois que de besoin, à rendre visite à Mbayang, va continuer à apporter toute l’assistance consulaire aux côtés du cabinet commis pour que sa défense puisse se faire dans les conditions prévues par la loi saoudienne», a rassuré Sory Kaba.
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