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Conséquences de l’Ebola sur l’Economie: Amadou BA répond à Moubarack LO



C’est la réponse du berger à  la bergère. Le ministre de l’Economie et des Finances apporte la réplique à l’ancien Directeur de cabinet du chef de l’Etat, Macky Sall. Moubarack LO disait que le "Plan Sénégal Emergent  (PSE) en pleine phase de promotion, n’a pas besoin d’Ebola, qui pourrait représenter un frein pour lui ».  En ce sens que « l’attraction des investissements pourrait être impactée par l’image négative que renvoie cette maladie, et même les investissements captés peuvent fuir ». La réponse d’Amadou BA ne tarde pas.
 

Selon le ministre, il ne s’agit que d’ «un seul cas qui a été très vite détecté. On ne peut pas donc parler de conséquences sur l’Economie ». Pour qu’il y ait des mauvais effets, il faut que plusieurs cas se signalent et heureusement, ce n’est pas le cas », sert l’argentier de l’Etat qui ne manque pas de lancer qu’ « il faut souhaiter que cela ne se produise pas ».
Amadou BA s’est prononcé au micro de la Tfm. 


Lundi 1 Septembre 2014 - 22:38


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1.Posté par Xeme le 02/09/2014 18:17
Helas tout commence par un seul cas. Il faut esperer qu'on s'en arretera a ca et que le patient va tres vite guerir et les personnes contacts n'ont pas ete contaminees.
Les hommes d'affaires internationaux travaillent en anticipation. Donc chez eux un ou 100 cas confirmes c'est du pareil au meme, si le patient a ete en contact avec d'autres et a pu les contaminer.

2.Posté par J S Beye le 03/09/2014 20:11
Honorable Monsieur le ministre des finances,
Le Sénégal est en banqueroute et vous n'oseriez pas l'admettre publiquement car, tel est le sort d'un pays endetté; très endetté même. Cependant, voici que votre dernière sortie médiatique exprime ce qu'on devait tous savoir, mais l'admettre serait un pas de géant dans la vérité que les politics ne savent dire.
Vous dites que les recettes de l'état ne suffisent pas pour couvrir les dépenses et il est surprenant que vous ne l'aviez pas réalisé bien avant. En toute logique comment voulez-vous que ces recettes puissent dépasser les dépenses puisqu'aucun gouvernement africain ne sait combien est sa réserve auprès du trésor Français? Vu que la France est la cause du sous-développement du Sénégal ; vu que la masse d'argents dans tout l'UEMOA est fait d'emprunts à un cartel financier d'institutions supranationales et nations prédatrices, comment cela peut être autrement ?
C'est comme si vous voulez guérir une malade souffrant d'une anémie chronique en lui donnant une perfusion de son propre sang ! Combien de temps pensez-vous que votre patient tiendra le coup avant de mourir ?
Je frémis pour notre nation car, les cadres qui vous entourent sont incompétents et de plus, des détraqués, car comment voulez -vous répéter les solutions qui ont échoué. Bien qu'il y a dans la magie, le phénoménal dans l'illusion, mais de tout apparence, vos techniciens confondent les deux. Les citoyens se fient de vos chiffres d'une croissance qui n'existe nulle part mais cela est un autre sujet.
La question est: pourquoi est-ce que le Sénégal est en banqueroute permanente au point de ne pas pouvoir couvrir la plus insignifiante dépense qu'est la bourse des étudiants ?
Pourquoi un mafia politique dans l'exécutif, la magistrature et la législature s'engraisse alors qu'on demande des sacrifices aux citoyens lambda ?
Je suis d'accord avec vous quant à la révision des indemnités des fonctionnaires, mais commençons du top au mid-level comme disent les Anglo-Saxons. Il suffit d'un décret présidentiel pour assurer l'exécution immédiate de cette suggestion et plus tard, on substituera une loi par l'assemblée nationale.
1. D'abord, aucun fonctionnaire ne peut toucher une prime en plus de son salaire. C'est une injustice vis-à-vis des contribuables. Ceci doit être valable dans toutes les branches du gouvernement, des institutions régulatrices et aussi les forces de sécurité. Soyez rassuré que nous possédons toute la nomenclature des termes qui servent comme synonymes pour parer à toute éventualité.
2. Les ministres, les députés, les magistrats doivent rendre leurs véhicules de fonction. Donc, pas de dotation ou bons d'essence. Un bus TATA pourra les ramasser chaque matin à partir de cinq heures du matin jusqu'à six heures 45 et les retardataires devront payer leurs propres frais de déplacements. Sauf pour absence à l'étranger, tout autre absence doit être sanctionnée par une diminution pécuniaire au pro rata des heures perdues contre les heures de services.
3. Puisque la majorité des Sénégalais gagne moins de 40 mille francs CFA par mois, une révision de salaire s'impose . Il faudra mettre les salariés de plus de 400 mille francs CFA à l'horaire de présence actuelle de sorte que les absences injustifiées soient défalquées de leurs salaires. A cela, un barème de performance égale au pourcentage de perte d'un établissement public ou parapublic soit retenu du salaire des managers car dorénavant ils partageront les charges dues à leur incapacité. Quant aux gestionnaires étrangers, ils payeront 80 pour cent au vu des indemnités occultes qu'ils perçoivent et de divers ajustements qu'ils bénéficient. L'état se doit de recevoir des compensations plus élevées en cas de faillite.
Enfin, jusqu'à ce que le Sénégal se retire de l'UEMOA ou de l'enclave de cette communauté des francophones asservis dite CFA; jusqu'au jour ou la nation ne sera plus réduite à cet esclavage économique par la BCEAO, la bande africaine des "dépouilleurs" (BAD); jusqu'au jour ou les Sénégalais ne seront plus sous l'emprise de la France, de l'Union Européenne ni des institutions de Breton Wood pour ne plus vivre sous des emprunts et de soi-disant "aides au développement"; jusqu'au jour on éliminera le cartel financier d'institutions prédatrices qui affaiblit la nation de sa force régénératrice, nous pensons qu'il est temps que toutes les exactions commissent contre notre peuple soient inscrites comme crimes contre l'humanité.
De toute façon, une purge de cette racaille est imminente.
J S Beye

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