«L’objectif visée par cette conférence c’est de contribuer à l’appropriation des réformes sur l’Enseignement supérieur par les communautés, également susciter leur adhésion et leur mobilisation. C’est la raison pour laquelle la Cosydep a signé une convention avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche pour apporter les réformes aux communautés». Ces propos sont de Cheikh Tidjane Aw, coordonnateur de la Cosydep à Kaolack, qui se prononçait, en marge de cette conférence, sur les motivations de cette rencontre.
Selon lui, c’est une nécessité, surtout après les concertations qu’il y ait un cadre pour réfléchir sur les questions qui touchent à l’Enseignement supérieur : «On a constaté qu’après les concertations, l’Université est retombée dur une crise. Ce qui était incompréhensible pour les acteurs et c’est la raison de notre partenariat et de notre démarche. A l’issu de cette conférence, nous avons mis sur place, toujours dans le cadre du partenariat avec le ministère, un cadre qui va réfléchir à partir de maintenant, sur les questions liées à l’Enseignement supérieur», a-t-il déclaré.
Le coordonnateur est d’avis que c’est une nouvelle orientation que prend l’enseignement supérieur, qui pourra permettre à tout le monde de se l’approprier : «Aujourd’hui l’Enseignement supérieur s’ouvre à cette communauté, et celle-ci doit saisir cette opportunité, at à travers cette espace militant que nous avons mis en place, qui va produire tous les 3 mois leurs avis sur le fonctionnement de l’enseignement supérieur».
Selon lui, l’enseignement supérieur doit dépasser les questions des bourses et des orientations qui sont en train de plomber les réformes, alors qu’il y a des questions encore beaucoup plus importantes au niveau de la réforme. Mais, malheureusement, la faiblesse de la communication du ministère a fait que ces défauts d’appropriation par les communautés»
Selon lui, c’est une nécessité, surtout après les concertations qu’il y ait un cadre pour réfléchir sur les questions qui touchent à l’Enseignement supérieur : «On a constaté qu’après les concertations, l’Université est retombée dur une crise. Ce qui était incompréhensible pour les acteurs et c’est la raison de notre partenariat et de notre démarche. A l’issu de cette conférence, nous avons mis sur place, toujours dans le cadre du partenariat avec le ministère, un cadre qui va réfléchir à partir de maintenant, sur les questions liées à l’Enseignement supérieur», a-t-il déclaré.
Le coordonnateur est d’avis que c’est une nouvelle orientation que prend l’enseignement supérieur, qui pourra permettre à tout le monde de se l’approprier : «Aujourd’hui l’Enseignement supérieur s’ouvre à cette communauté, et celle-ci doit saisir cette opportunité, at à travers cette espace militant que nous avons mis en place, qui va produire tous les 3 mois leurs avis sur le fonctionnement de l’enseignement supérieur».
Selon lui, l’enseignement supérieur doit dépasser les questions des bourses et des orientations qui sont en train de plomber les réformes, alors qu’il y a des questions encore beaucoup plus importantes au niveau de la réforme. Mais, malheureusement, la faiblesse de la communication du ministère a fait que ces défauts d’appropriation par les communautés»
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