Ambiance de couvre-feu à Brasilia, où 1 500 soldats appuyés par plusieurs centaines d’agents des forces de l’ordre ont été déployés, sur décret du président Temer, pour garantir l’ordre dans la capitale. L’armée y restera jusqu’à ce que la situation soit rétablie - c’est ce que prévoit le décret présidentiel. Il répond aux troubles qui ont éclaté durant la manifestation qui se déroulait à Brasilia, sur l’esplanade des Ministères, en face du Congrès.
Des dizaines de milliers de personnes étaient venues exiger le départ du président Temer, soupçonné d’avoir perçu des pots-de-vin, et la manifestation a dégénéré. La façade du ministère de l’Agriculture a été incendiée, ainsi que plusieurs autres bâtiments administratifs. La police anti-émeute est intervenue brutalement. Une cinquantaine de personnes ont été blessées.
Heurts au Congrès
Ces troubles ont conduit le président Temer à faire appel à l’armée, pour garantir selon lui, des manifestations pacifiques dans la capitale. Suite à cette décision, des heurts entre députés ont éclaté au Congrès. Et la session parlementaire a été suspendue.
Des dizaines de milliers de personnes étaient venues exiger le départ du président Temer, soupçonné d’avoir perçu des pots-de-vin, et la manifestation a dégénéré. La façade du ministère de l’Agriculture a été incendiée, ainsi que plusieurs autres bâtiments administratifs. La police anti-émeute est intervenue brutalement. Une cinquantaine de personnes ont été blessées.
Heurts au Congrès
Ces troubles ont conduit le président Temer à faire appel à l’armée, pour garantir selon lui, des manifestations pacifiques dans la capitale. Suite à cette décision, des heurts entre députés ont éclaté au Congrès. Et la session parlementaire a été suspendue.
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