Mademba Sock est revenu hier sur l’intérêt de la rencontre initiée par le chef de l’Etat, Macky Sall, dans le cadre du dialogue national. Et c’est pour dire que cette rencontre n’est que l’entame d’un processus : «l’intérêt c’est l’entame. Ici ce n’est pas une enceinte qui permet de dialoguer, mais de connaître des difficultés, de connaître des problèmes et de prendre en charge les préoccupations qui sont exprimées », a-t-il soutenu.
Revenant sur les points figurant dans l’agenda du Président Macky Sall, Mademba Sock se désole de ne pas voir y figurer des questions qu’il juge fondamentales pour notre pays : «Nous avons pensé que dans l’inventaire du chef de l’Etat, il y avait des questions fondamentales qui avaient été omises, notamment la question de l’Acte 3 de la Décentralisation qui a une durée de vie et sur lequel acte il y a des problèmes. Donc je pense que le moment est venu d’en faire le bilan».
Et le secrétaire général de l’Unsas de poursuivre : «Il y a également l’emploi des jeunes. Je pense qu’on ne peut pas évoquer ces questions de consensus national sans avoir une idée de la question de l’emploi. Il y a également la question des entreprises en difficulté, donc les structures pour lesquelles l’Etat doit prendre en charge les préoccupations».
Pour terminer, M. Sock évoque la question de l’éduction qui, selon lui : «est la chose la mieux partagée dans notre pays. Mais quelle est la solution » ?
Pour répondre à cette question, Mademba Sock pense qu’il faut nécessairement des compromis dynamiques : «Il faut des compromis dynamiques pour trouver des solutions. On ne peut pas imposer sa vérité. La Vérité V n’est pas de ce monde. Il n y a pas à imposer sa loi. Il faut qu’on travaille à construire des compromis dynamiques pour trouver les moyens de faire en sorte que notre école soit boostée. C’est un impératif sur lequel personne ne peut se soustraire».
Revenant sur les points figurant dans l’agenda du Président Macky Sall, Mademba Sock se désole de ne pas voir y figurer des questions qu’il juge fondamentales pour notre pays : «Nous avons pensé que dans l’inventaire du chef de l’Etat, il y avait des questions fondamentales qui avaient été omises, notamment la question de l’Acte 3 de la Décentralisation qui a une durée de vie et sur lequel acte il y a des problèmes. Donc je pense que le moment est venu d’en faire le bilan».
Et le secrétaire général de l’Unsas de poursuivre : «Il y a également l’emploi des jeunes. Je pense qu’on ne peut pas évoquer ces questions de consensus national sans avoir une idée de la question de l’emploi. Il y a également la question des entreprises en difficulté, donc les structures pour lesquelles l’Etat doit prendre en charge les préoccupations».
Pour terminer, M. Sock évoque la question de l’éduction qui, selon lui : «est la chose la mieux partagée dans notre pays. Mais quelle est la solution » ?
Pour répondre à cette question, Mademba Sock pense qu’il faut nécessairement des compromis dynamiques : «Il faut des compromis dynamiques pour trouver des solutions. On ne peut pas imposer sa vérité. La Vérité V n’est pas de ce monde. Il n y a pas à imposer sa loi. Il faut qu’on travaille à construire des compromis dynamiques pour trouver les moyens de faire en sorte que notre école soit boostée. C’est un impératif sur lequel personne ne peut se soustraire».
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