Oumar Sar a représenté le PDS hier lors de l’ouverture du dialogue national auquel le président de la République, Macky Sall, avait invité les différentes franges de la population sénégalaise. Mais certains n’ont pas répondu à cet appel. Ce qui a motivé l’invitation lancée à leur égard par le maire de Dagana à rejoindre la table de négociation.
«Chaque parti est responsable. Nous avons pensé que, vu le créneau et la manière avec à laquelle les discussions allaient avoir lieu, c’était important d’être là. Nous ne le regrettons pas. Les autres partis vont analyser. Certains vont peut-être regretter, d’autres vont dire qu’ils ont eu raison de ne pas venir. Je pense que c’est important, si on va vers des résultats, que l’ensemble des partis se l’approprie», a-t-il déclaré à l’issue de la rencontre.
Revenant sur les attentes de son parti, le coordonnateur national du PDS est convaincu que le chef de l’Etat a intérêt à les satisfaire, ne serait-ce pour la réussite de son initiative : «Si le Président veut réussir ce dialogue national, il lui faut forcément booster certains dossiers. Nous, nous voulons une démocratie apaisée, et pour cela, il y a le processus électoral, l’Etat de droit, c’est-à-dire la fin du harcèlement politique. C’est clair pour nous que ce sont deux éléments qui pourront montrer que le gouvernement est vraiment prêt à aller jusqu’au bout. Et je crois qu’on s’est bien entendu», a-tt-il soutenu.
«Chaque parti est responsable. Nous avons pensé que, vu le créneau et la manière avec à laquelle les discussions allaient avoir lieu, c’était important d’être là. Nous ne le regrettons pas. Les autres partis vont analyser. Certains vont peut-être regretter, d’autres vont dire qu’ils ont eu raison de ne pas venir. Je pense que c’est important, si on va vers des résultats, que l’ensemble des partis se l’approprie», a-t-il déclaré à l’issue de la rencontre.
Revenant sur les attentes de son parti, le coordonnateur national du PDS est convaincu que le chef de l’Etat a intérêt à les satisfaire, ne serait-ce pour la réussite de son initiative : «Si le Président veut réussir ce dialogue national, il lui faut forcément booster certains dossiers. Nous, nous voulons une démocratie apaisée, et pour cela, il y a le processus électoral, l’Etat de droit, c’est-à-dire la fin du harcèlement politique. C’est clair pour nous que ce sont deux éléments qui pourront montrer que le gouvernement est vraiment prêt à aller jusqu’au bout. Et je crois qu’on s’est bien entendu», a-tt-il soutenu.
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