«Aujourd’hui, nous sommes tous des Gambiens. Nous avons une pensée affectueuse pour le peuple gambien qui traverse un moment particulier de son histoire », a déclaré Dr Cheikh Tidiane Gadio, qui se prononçait sur la situation gambienne.
Selon lui, c’est une leçon de démocratie qu’est en train de livrer le peuple gambien au reste de l’Afrique, et du même coup lance un avertissement aux autres dirigeants africains qui doivent désormais savoir que : «les citoyens sont devenus matures. Ils attendent le moment opportun pour se déterminer».
Se prononçant sur la position de l’Afrique par rapport aux autres continents, l’ancien chef de la diplomatie sénégalaise pense qu’il revient aux Africains de développer leurs Etats. Et cela ne peut se faire que si les Africain mettent en œuvre des stratégies adéquates : «Les Africains ont le défi de développer leurs Etats par leurs langues avec une prise de considération de trois secteurs stratégiques. Il faut d’abord régler les problèmes d’agriculture, d’éducation et de santé».
Et le président de l’Institut panafricain de stratégies (Ips) de lancer une invite aux jeunes : «J’invite les jeunes à plus de dignité et de fierté en faisant de l’excellence dans le travail, un crédo. Ils ne doivent pas oublier que qu’ils représentent l’avenir de l’Afrique. La jeunesse doit croire en elle».
Selon lui, c’est une leçon de démocratie qu’est en train de livrer le peuple gambien au reste de l’Afrique, et du même coup lance un avertissement aux autres dirigeants africains qui doivent désormais savoir que : «les citoyens sont devenus matures. Ils attendent le moment opportun pour se déterminer».
Se prononçant sur la position de l’Afrique par rapport aux autres continents, l’ancien chef de la diplomatie sénégalaise pense qu’il revient aux Africains de développer leurs Etats. Et cela ne peut se faire que si les Africain mettent en œuvre des stratégies adéquates : «Les Africains ont le défi de développer leurs Etats par leurs langues avec une prise de considération de trois secteurs stratégiques. Il faut d’abord régler les problèmes d’agriculture, d’éducation et de santé».
Et le président de l’Institut panafricain de stratégies (Ips) de lancer une invite aux jeunes : «J’invite les jeunes à plus de dignité et de fierté en faisant de l’excellence dans le travail, un crédo. Ils ne doivent pas oublier que qu’ils représentent l’avenir de l’Afrique. La jeunesse doit croire en elle».
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