Le bras de fer entre le gouvernement et les journalistes se poursuit. Dorénavant le ministre de l’Intérieur Magdy Abdel Ghaffar n’est « personne » et son portrait n’apparait qu’en négatif sur les pages des journaux. Un ministre dont le limogeage est une condition incontournable pour résoudre la crise.
Plus de la moitié des membres du syndicat ont participé à la réunion. Celle-ci s’est déroulée dans une ambiance surchauffée : « Libres dans une nation libre. Vive l’Egypte et vive la liberté de la presse et l’unité des journalistes », a lancé le président du syndicat, Yéhia Qalash.
« Boycottez la presse de la bassesse »
Les journalistes ont aussi décidé de publier un logo sur tous les journaux contre « l’interdiction de publier ». Le parquet général a en effet interdit de publier toute information concernant le raid de la police contre le syndicat, dimanche 1er mai.
Le ministère a par ailleurs implicitement menacé le président du syndicat de poursuites judiciaires. Parallèlement, un mouvement a été lancé sur les médias sociaux avec pour slogan « boycottez la presse de la bassesse » pour répondre à celui de « flicaille canaille ».
Plus de la moitié des membres du syndicat ont participé à la réunion. Celle-ci s’est déroulée dans une ambiance surchauffée : « Libres dans une nation libre. Vive l’Egypte et vive la liberté de la presse et l’unité des journalistes », a lancé le président du syndicat, Yéhia Qalash.
« Boycottez la presse de la bassesse »
Les journalistes ont aussi décidé de publier un logo sur tous les journaux contre « l’interdiction de publier ». Le parquet général a en effet interdit de publier toute information concernant le raid de la police contre le syndicat, dimanche 1er mai.
Le ministère a par ailleurs implicitement menacé le président du syndicat de poursuites judiciaires. Parallèlement, un mouvement a été lancé sur les médias sociaux avec pour slogan « boycottez la presse de la bassesse » pour répondre à celui de « flicaille canaille ».
Autres articles
-
Syrie: au moins 36 soldats syriens tués dans une frappe israélienne près d'Alep (ONG)
-
Haïti: 243 personnes évacuées vers la Martinique, dont une majorité de Français
-
Guerre au Soudan: les États-Unis tentent de relancer les pourparlers de paix
-
Élections en Afrique du Sud: pourquoi l’ANC s'attaque au nom du parti de l’ex-président Jacob Zuma
-
Mali: les partis politiques, de tous bords, demandent un nouveau processus court de transition