« Donnes-nous notre pain quotidien et pardonnes-nous nos offenses… » En ouverture de ce grand meeting, Melania dans une élégante robe rouge, a récité la prière du « Notre Père », avant d’annoncer son mari. Et il n'a pas fallu longtemps à Donald Trump pour s'attaquer à sa cible favorite : « Je veux m'adresser à vous sans le filtre des informations bidons. Les médias malhonnêtes font partie du système corrompu. »
Trump qui adore l'adulation des foules égraine alors tous les grands thèmes de sa campagne, énumère ses accomplissements et développe son programme pour l'avenir. Puis au milieu de son discours, il appelle à la tribune l'un de ses supporters qui vient l'étreindre et à qui il donne le micro.
« Quand le président Trump nous a promis pendant la campagne toutes les choses qu'il allait faire pour nous, je savais qu'il allait les faire », lance alors celui-ci.
De son côté, Donald Trump a assuré que sa présidence se déroulait « sans heurt ». « La Maison Blanche fonctionne tellement sans accroc, sans heurt. Croyez-moi, j'ai hérité d'un grand bazar », a lancé le successeur de Barack Obama, sous les cris et les applaudissements de ses partisans.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche vient pourtant de passer une semaine quelque peu agitée avec la démission de son conseiller à la Sécurité nationale, le retrait de son candidat au poste de ministre du Travail menacé d'être rejeté par le Sénat, sans oublier une conférence de presse surréaliste jeudi.
Dimanche studieux
Rassuré par la présence toujours aussi enthousiaste de ses partisans, et ignorant les centaines de manifestants tenus hier à l'écart, Donald Trump consacre sa journée de ce dimanche à des entretiens d'embauche pour le poste de conseiller à la sécurité nationale, après le départ de Mike Flynn écarté pour avoir menti au vice-president sur ses conversations avec l'ambassadeur de Russie.
Sont en lice trois généraux, mais ce serait un civil, l'ancien ambassadeur auprès des Nations unies, John Bolton, qui, selon certaines sources proches de la Maison Blanche, tiendrait la corde.
Trump qui adore l'adulation des foules égraine alors tous les grands thèmes de sa campagne, énumère ses accomplissements et développe son programme pour l'avenir. Puis au milieu de son discours, il appelle à la tribune l'un de ses supporters qui vient l'étreindre et à qui il donne le micro.
« Quand le président Trump nous a promis pendant la campagne toutes les choses qu'il allait faire pour nous, je savais qu'il allait les faire », lance alors celui-ci.
De son côté, Donald Trump a assuré que sa présidence se déroulait « sans heurt ». « La Maison Blanche fonctionne tellement sans accroc, sans heurt. Croyez-moi, j'ai hérité d'un grand bazar », a lancé le successeur de Barack Obama, sous les cris et les applaudissements de ses partisans.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche vient pourtant de passer une semaine quelque peu agitée avec la démission de son conseiller à la Sécurité nationale, le retrait de son candidat au poste de ministre du Travail menacé d'être rejeté par le Sénat, sans oublier une conférence de presse surréaliste jeudi.
Dimanche studieux
Rassuré par la présence toujours aussi enthousiaste de ses partisans, et ignorant les centaines de manifestants tenus hier à l'écart, Donald Trump consacre sa journée de ce dimanche à des entretiens d'embauche pour le poste de conseiller à la sécurité nationale, après le départ de Mike Flynn écarté pour avoir menti au vice-president sur ses conversations avec l'ambassadeur de Russie.
Sont en lice trois généraux, mais ce serait un civil, l'ancien ambassadeur auprès des Nations unies, John Bolton, qui, selon certaines sources proches de la Maison Blanche, tiendrait la corde.
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