Placé en garde-à-vue mardi dernier par la Sûreté Urbaine avant d’être déféré au parquet, l’ancien garde du corps d’Idrissa Seck a été inculpé pour ouverture et exploitation d’une société de gardiennage sans autorisation administrative. Jugé ce vendredi, il a écopé d’un mois avec sursis et d’une amende financière. La réaction du conseil de Vieux Sandiéry ne s’est pas faite attendre. Me Baba Diop parle de «fautes imputables à l’Etat».
Selon la robe noire, «on n’aurait même pu se passer de ce procès-là parce qu’au début, il s’agissait d’une simple histoire de tenues d’agents de sécurité qui ressembleraient à des tenues de policiers». Ladite remarque faite au Directeur de l’agence qui se trouve être Vieux Sabdiéry Diop, ce dernier «avait promis et s’était même engagé à changer les tenues» et c’est «ce qu’il a fait», indique son avocat.
«Mais quelques jours après, on est revenu à la charge pour poser un autre problème, le problème de l’existence de sa société de gardiennage», embraie Me Baba Diop qui reconnait qu’ «on a effectivement vu par rapport à cela qu’au Sénégal» qu’ «il y a une loi depuis 1978, la loi n° 78-40 qui avait soumis à autorisation l’existence ou l’exploitation de toute société de gardiennage ou d’escorte».
Son client ne sachant, ce dernier précise que «quand il (Vieux Sandiéry) créait sa société, il s’en était ouvert à l’APIX qui l’avait accompagné dans la création de sa société et l’APIX ne lui a jamais fait comprendre qu’il lui fallait une autorisation relativement à la création de sa société».
«C’est pourquoi, j’ai dit qu’il y aussi des fautes qui sont imputables à l’Etat…», clôt-il.
Selon la robe noire, «on n’aurait même pu se passer de ce procès-là parce qu’au début, il s’agissait d’une simple histoire de tenues d’agents de sécurité qui ressembleraient à des tenues de policiers». Ladite remarque faite au Directeur de l’agence qui se trouve être Vieux Sabdiéry Diop, ce dernier «avait promis et s’était même engagé à changer les tenues» et c’est «ce qu’il a fait», indique son avocat.
«Mais quelques jours après, on est revenu à la charge pour poser un autre problème, le problème de l’existence de sa société de gardiennage», embraie Me Baba Diop qui reconnait qu’ «on a effectivement vu par rapport à cela qu’au Sénégal» qu’ «il y a une loi depuis 1978, la loi n° 78-40 qui avait soumis à autorisation l’existence ou l’exploitation de toute société de gardiennage ou d’escorte».
Son client ne sachant, ce dernier précise que «quand il (Vieux Sandiéry) créait sa société, il s’en était ouvert à l’APIX qui l’avait accompagné dans la création de sa société et l’APIX ne lui a jamais fait comprendre qu’il lui fallait une autorisation relativement à la création de sa société».
«C’est pourquoi, j’ai dit qu’il y aussi des fautes qui sont imputables à l’Etat…», clôt-il.
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