Pour la première fois, une femme a été investie par un grand parti pour être candidate à l’élection présidentielle américaine, mardi 26 juillet. Hillary Clinton, 68 ans, a été officiellement désignée à Philadelphie par le Parti démocrate comme sa candidate à la Maison Blanche pour l’élection de novembre. Conformément au résultat des primaires, l’ancienne chef de la diplomatie américaine a recueilli le soutien de la majorité des délégués, franchissant le cap des 2 382 voix nécessaires pour emporter l’investiture.
« Hillary » acceptera formellement sa nomination jeudi soir en clôture de la convention démocrate, avant de repartir en campagne dès le lendemain avec son colistier Tim Kaine pour espérer l’emporter le 8 novembre face au républicain Donald Trump. Mardi soir, elle a suivi la convention depuis sa résidence de Chappaqua, dans l’Etat de New York d’où elle a pu écouter son mari, Bill, président de 1993 à 2001, lui rendre hommage à Philadelphie.
La désormais candidate officielle est intervenue quelques instants plus tard : « Quelle journée et quelle soirée extraordinaires ! », a-t-elle lancé dans une vidéo retransmise en direct dans la salle. « Je n’arrive pas à croire que nous venons d’asséner un coup sans précédent au plafond de verre [qui bloque la carrière des femmes] », a-t-elle ajouté. « Si des petites filles ont veillé ce soir pour regarder, je voudrais leur dire que je deviendrais peut-être la première femme présidente, mais que l’une d’entre vous sera la prochaine », a-t-elle conclu.»
« Ce que nous devons faire, au risque sinon de le regretter pour toujours, est de battre Donald Trump et élire Hillary Clinton », avait affirmé mardi matin Bernie Sanders, pour tenter de rassembler la famille démocrate après une campagne parfois amère. La veille, il avait clairement opté pour le rassemblement dans un discours prononcé dans une salle chauffée à bloc par le discours de la première dame, Michelle Obama, qui a enthousiasmé les quelque 5 000 délégués rassemblés à « Philly ».
« Hillary » acceptera formellement sa nomination jeudi soir en clôture de la convention démocrate, avant de repartir en campagne dès le lendemain avec son colistier Tim Kaine pour espérer l’emporter le 8 novembre face au républicain Donald Trump. Mardi soir, elle a suivi la convention depuis sa résidence de Chappaqua, dans l’Etat de New York d’où elle a pu écouter son mari, Bill, président de 1993 à 2001, lui rendre hommage à Philadelphie.
La désormais candidate officielle est intervenue quelques instants plus tard : « Quelle journée et quelle soirée extraordinaires ! », a-t-elle lancé dans une vidéo retransmise en direct dans la salle. « Je n’arrive pas à croire que nous venons d’asséner un coup sans précédent au plafond de verre [qui bloque la carrière des femmes] », a-t-elle ajouté. « Si des petites filles ont veillé ce soir pour regarder, je voudrais leur dire que je deviendrais peut-être la première femme présidente, mais que l’une d’entre vous sera la prochaine », a-t-elle conclu.»
« Ce que nous devons faire, au risque sinon de le regretter pour toujours, est de battre Donald Trump et élire Hillary Clinton », avait affirmé mardi matin Bernie Sanders, pour tenter de rassembler la famille démocrate après une campagne parfois amère. La veille, il avait clairement opté pour le rassemblement dans un discours prononcé dans une salle chauffée à bloc par le discours de la première dame, Michelle Obama, qui a enthousiasmé les quelque 5 000 délégués rassemblés à « Philly ».
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