C’est une préoccupation pour le ministre de la Santé et de l’Action sociale. Avec la fermeture des frontières en raison de l’épidémie à virus Ebola qui sévit en Guinée, nombre de jeunes écoliers y sont bloqués. Ce, à quelques jours de la rentrée des classes prévu ce 1er octobre. Interpellée sur la question, Eva Marie Coll Seck se dit en effet, très inquiète. «Je sais qu’il y a beaucoup d’écoliers qui sont partis en Vacances. Nous sommes d’ailleurs très inquiets parce que nous voulons qu’on trouve une solution au niveau du gouvernement. Ce sont des enfants qui vivent au Sénégal, des enfants qui sont des Sénégalais, qui veulent aller à l’école. Mais ce sont des enfants qui aussi pourraient venir avec le virus », explique la tutelle qui, face à la presse, ce vendredi, ne manque pas d’indiquer qu’il faut « prendre la chose sur l’angle de santé publique ».
L’idée du ministre de la Santé et de l’Action sociale pour l’heure, est «qu’ils pourraient être vus au niveau de la frontière, bien identifiés, retournés dans la zone où ils vivent et être suivis pour les médecins et infirmiers pendant 21 jours pour qu’on s’assure qu’il n’y a aucun problème ». Du travail supplémentaire certes selon la tutelle mais qui sera fait. «On a pitié d’eux mais il faudrait qu’on tienne compte de tout l’aspect santé publique qui entoure la lutte contre l’épidémie à virus Ebola », dit par ailleurs Eva Marie Coll Seck qui affirme qu’il «faudra qu’on fasse attention ». Selon elle, "des parents qui comprenaient bien la situation en Guinée n’auraient pas envoyé leurs enfants en cette période".
Dans tous les cas, « aujourd’hui, ces enfants sont en Guinée » et il a été demandé à l’Ambassadeur sur place de bien identifier toutes ces personnes » car prévient le ministre, «il ne faudrait pas que tout le monde prennent ces vacances comme un prétexte. Il faut qu’on voit réellement qu’elle est la situation, qui sont ces personnes et nous prendrons les décisions adéquates… ».
L’idée du ministre de la Santé et de l’Action sociale pour l’heure, est «qu’ils pourraient être vus au niveau de la frontière, bien identifiés, retournés dans la zone où ils vivent et être suivis pour les médecins et infirmiers pendant 21 jours pour qu’on s’assure qu’il n’y a aucun problème ». Du travail supplémentaire certes selon la tutelle mais qui sera fait. «On a pitié d’eux mais il faudrait qu’on tienne compte de tout l’aspect santé publique qui entoure la lutte contre l’épidémie à virus Ebola », dit par ailleurs Eva Marie Coll Seck qui affirme qu’il «faudra qu’on fasse attention ». Selon elle, "des parents qui comprenaient bien la situation en Guinée n’auraient pas envoyé leurs enfants en cette période".
Dans tous les cas, « aujourd’hui, ces enfants sont en Guinée » et il a été demandé à l’Ambassadeur sur place de bien identifier toutes ces personnes » car prévient le ministre, «il ne faudrait pas que tout le monde prennent ces vacances comme un prétexte. Il faut qu’on voit réellement qu’elle est la situation, qui sont ces personnes et nous prendrons les décisions adéquates… ».
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