Alors les réactions sont nombreuses et pour certains, le gouvernement sud-africain n'aurait pas dû lui accorder un traitement spécial.
Apres son départ, en Afrique du Sud, beaucoup expriment leur incompréhension. Pour l'alliance démocratique, le principal parti d'opposition, une enquête parlementaire doit être immédiatement ouverte pour savoir comment s'est déroulé, je cite, la fuite en pleine nuit de Grace Mugabe afin qu'elle évite un procès".
L'un des avocats de la victime, Willie Spies pense que les autorités sud-africaines n'auraient jamais dû lui octroyer l'immunité diplomatique, car selon lui, contrairement à ce qu'affirme le ministère des affaires étrangères, elle n'était pas à Johannesburg en visite officielle, mais bien pour des raisons personnelles. Il dénonce la culture de l'impunité.
Il entend, avec l'association Afriforum, saisir la justice pour obtenir une annulation de la décision d'accorder l'immunité diplomatique.
On sait maintenant qu'elle était ici pour un rendez-vous médical. Ce n'était pas une visite diplomatique, l'idée leur est venue ensuite qu'elle devait assister au sommet de la SADC. Ce qu'on a vu, c'est que le gouvernement sud-africain est maintenant devenu complice du crime commis contre la victime", a expliqué M. Spies.
Grace Mugabe figure parmi les favoris pour succéder à son mari, âgé de 93 ans. Mais depuis la semaine dernière, elle est sous le coup d'une plainte pour coups et blessures contre un mannequin.
Gabriella Engels, 20 ans, affirme avoir été agressée violemment, avec un câble et une prise, par la première dame dans un hôtel d'un quartier huppé de Johannesburg, le 13 août dernier.
Selon les médias sud-africains, deux fils de Grace Mugabe se trouvaient dans le même établissement.
Au Zimbabwe, la principale formation d'opposition, le Mouvement pour le changement démocratique, a, elle aussi, demandé que tout soit fait pour que Grace Mugabe, « une voleuse et une femme violente », réponde de ses actes devant la justice. Sophie Ribstein, Johannesburg, BBC Afrique.
Apres son départ, en Afrique du Sud, beaucoup expriment leur incompréhension. Pour l'alliance démocratique, le principal parti d'opposition, une enquête parlementaire doit être immédiatement ouverte pour savoir comment s'est déroulé, je cite, la fuite en pleine nuit de Grace Mugabe afin qu'elle évite un procès".
L'un des avocats de la victime, Willie Spies pense que les autorités sud-africaines n'auraient jamais dû lui octroyer l'immunité diplomatique, car selon lui, contrairement à ce qu'affirme le ministère des affaires étrangères, elle n'était pas à Johannesburg en visite officielle, mais bien pour des raisons personnelles. Il dénonce la culture de l'impunité.
Il entend, avec l'association Afriforum, saisir la justice pour obtenir une annulation de la décision d'accorder l'immunité diplomatique.
On sait maintenant qu'elle était ici pour un rendez-vous médical. Ce n'était pas une visite diplomatique, l'idée leur est venue ensuite qu'elle devait assister au sommet de la SADC. Ce qu'on a vu, c'est que le gouvernement sud-africain est maintenant devenu complice du crime commis contre la victime", a expliqué M. Spies.
Grace Mugabe figure parmi les favoris pour succéder à son mari, âgé de 93 ans. Mais depuis la semaine dernière, elle est sous le coup d'une plainte pour coups et blessures contre un mannequin.
Gabriella Engels, 20 ans, affirme avoir été agressée violemment, avec un câble et une prise, par la première dame dans un hôtel d'un quartier huppé de Johannesburg, le 13 août dernier.
Selon les médias sud-africains, deux fils de Grace Mugabe se trouvaient dans le même établissement.
Au Zimbabwe, la principale formation d'opposition, le Mouvement pour le changement démocratique, a, elle aussi, demandé que tout soit fait pour que Grace Mugabe, « une voleuse et une femme violente », réponde de ses actes devant la justice. Sophie Ribstein, Johannesburg, BBC Afrique.
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