Restés inchangés depuis 2003, vers une hausse des tarifs de l'eau. Une augmentation qui aurait dû intervenir depuis septembre dernier. Mais elle a été suspendue par le président Macky Sall. Aujourd'hui, l'Etat ne semble plus avoir le choix. Si la hausse ne se fait pas, c'est l'équilibre financier de la SONES qui sera menacé. La société va continuer ainsi à accumuler des arriérés et être dans l'impossibilité de rembourser ses dettes. Une situation dans laquelle, souligne "l'As", l'Etat l'a mise depuis 2003.
Alors qu'annuellement la facture s'élève à 22 milliards, selon la source, il ne s'acquitte que de 15 milliards de F CFA. Si la hausse n'intervient pas, la SONES n'obtiendra pas le décaissement de 170 milliards, sans compter le projet de la Station Keur Massar 3 d'un montant d'une cinquantaine de milliards et la dépollution de la baie de Hann pour 33 milliards.
Ainsi, la facturation se faisant sous forme de tranche, une hausse de 4% sera appliquée sur la première de 0 à 20 mètres cubes d'eau et sur la deuxième de 21 à 40 mètres cube. Quant aux consommateurs qui dépasseront les 40 mètres cube, ils vont payer 9 %. Et si le mètre cube est à 202 F CFA en milieu rural, il est compris entre 250 et 400 F CFA dans les zones urbaines.
Alors qu'annuellement la facture s'élève à 22 milliards, selon la source, il ne s'acquitte que de 15 milliards de F CFA. Si la hausse n'intervient pas, la SONES n'obtiendra pas le décaissement de 170 milliards, sans compter le projet de la Station Keur Massar 3 d'un montant d'une cinquantaine de milliards et la dépollution de la baie de Hann pour 33 milliards.
Ainsi, la facturation se faisant sous forme de tranche, une hausse de 4% sera appliquée sur la première de 0 à 20 mètres cubes d'eau et sur la deuxième de 21 à 40 mètres cube. Quant aux consommateurs qui dépasseront les 40 mètres cube, ils vont payer 9 %. Et si le mètre cube est à 202 F CFA en milieu rural, il est compris entre 250 et 400 F CFA dans les zones urbaines.
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