Pour Hélène Tine, la loi portant modification du règlement intérieur de l’Assemblée nationale est un recul démocratique. Selon elle, cette loi est une loi «inopportune, injuste, inacceptable et incompréhensible». En effet, la parlementaire pense que la loi devait simplement se limiter aux deux premières dispositions (mandat du président de l’Assemblée nationale et parité) : «Au lieu de s’arrêter aux deux dispositions qui consolident la démocratie, deux autres ont été intégrées, ce qui pose problème dans la loi et m’a poussée à m’abstenir lors du vote».
Selon elle, ce qui est pire c’est que «ces deux dispositions n’étaient même pas dans l’avant-proposition de loi organique et porté dès le début de la législature par des députés de la majorité, de l’opposition et de non-inscrits».
Et Hélène Tine de lister ce qu’elle considère comme un piétinement des libertés parlementaires : «La première disposition regrettable, c’est le fait de dire qu’on va ramener le nombre de députés requis pour former un groupe parlementaire de 10 à 15. Comme seul argument brandi pour se justifier, on convoque la nécessité d’harmoniser le règlement intérieur avec la constitution. Et pis encore, dans cette loi, le clou a été enfoncé à travers la disposition qui dit qu’un député qui quitte un groupe parlementaire n’a le droit ni d’entrer dans un autre groupe, ni de s’associer avec d’autres pour créer un groupe».
Selon elle, ce qui est pire c’est que «ces deux dispositions n’étaient même pas dans l’avant-proposition de loi organique et porté dès le début de la législature par des députés de la majorité, de l’opposition et de non-inscrits».
Et Hélène Tine de lister ce qu’elle considère comme un piétinement des libertés parlementaires : «La première disposition regrettable, c’est le fait de dire qu’on va ramener le nombre de députés requis pour former un groupe parlementaire de 10 à 15. Comme seul argument brandi pour se justifier, on convoque la nécessité d’harmoniser le règlement intérieur avec la constitution. Et pis encore, dans cette loi, le clou a été enfoncé à travers la disposition qui dit qu’un député qui quitte un groupe parlementaire n’a le droit ni d’entrer dans un autre groupe, ni de s’associer avec d’autres pour créer un groupe».
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