Le leader de Rewmi s’est prononcé ce mardi après la prière de l’Aid El fitr, ce matin à Thiès. Ce, tout d’abord pour dire dans le cadre de l’affaire du fils du président sortant Wade dans les liens de la détention depuis le 17 avril 2013, qu’ «il faut, en démocratie qu’on laisse à chaque institution une prérogative de faire son travail. L’Etat a porté accusation, l’instruction a renvoyé devant la juridiction de jugement. Maintenant, les juges doivent juger ».
Un dossier qui est par ailleurs loin de le laisser insensible. «Je suis peiné, le Sénégal n’a que deux chefs d’Etat encore en vie, Abdoulaye wade et Abdoul Diouf et il est pénible et même dramatique que le fils de l’un va honorer en novembre Abdou Diouf et va déshonorer à travers ce procès son père politique et spirituel. Ça me peine humainement ».
L’autre peine, dira Idrissa Seck, «ce sont les enfants de Karim qui sont en France qui sont à la fois privés de leur mère rappelée à Dieu et de leur père dans les liens de la détention parce que l’une d’elles, c’est moi qui l’ai portée lors du baptême au palais en 2000 et aujourd’hui elle est grande, j’ai une pensée pour elle ».
Dans le cadre de ce dossier, propose l’ancien premier ministre, « il faut d’abord la vérité ». Mais, «s’il y a préjudice causé au peuple sénégalais que ces préjudices soient réparés. Enfin le dialogue pour la paix et la concorde nationales. Cité parmi les témoins dudit dossier, le Président du Conseil Départemental de Thiès de dire, « si on me pose des questions, je ne témoignerai qu’en relation avec la vérité ».
Un dossier qui est par ailleurs loin de le laisser insensible. «Je suis peiné, le Sénégal n’a que deux chefs d’Etat encore en vie, Abdoulaye wade et Abdoul Diouf et il est pénible et même dramatique que le fils de l’un va honorer en novembre Abdou Diouf et va déshonorer à travers ce procès son père politique et spirituel. Ça me peine humainement ».
L’autre peine, dira Idrissa Seck, «ce sont les enfants de Karim qui sont en France qui sont à la fois privés de leur mère rappelée à Dieu et de leur père dans les liens de la détention parce que l’une d’elles, c’est moi qui l’ai portée lors du baptême au palais en 2000 et aujourd’hui elle est grande, j’ai une pensée pour elle ».
Dans le cadre de ce dossier, propose l’ancien premier ministre, « il faut d’abord la vérité ». Mais, «s’il y a préjudice causé au peuple sénégalais que ces préjudices soient réparés. Enfin le dialogue pour la paix et la concorde nationales. Cité parmi les témoins dudit dossier, le Président du Conseil Départemental de Thiès de dire, « si on me pose des questions, je ne témoignerai qu’en relation avec la vérité ».
Autres articles
-
Communiqué du Conseil des ministres du mercredi 24 avril 2024
-
Victimes des évènements de janvier 2021 à février 2024 : le chef de l'Etat ordonne la mise en place d'une commission d’indemnisation
-
Ousmane Sonko invite les ministres à lui soumettre, un document récapitulatif des actions urgentes au plus tard le 26 avril 2024
-
Conseil des ministres - coût de la vie : Bassirou Diomaye Faye indexe la dérégulation des marchés de produits et des prix
-
Transhumance politique : Daouda Ba, ex porte-parole de Rewmi file droit vers Déthié Fall