Selon les informations du Monde, les enquêteurs français qui se penchent depuis bientôt deux ans sur les soupçons de corruption autour de l’attribution des Jeux olympiques 2020 à Tokyo disposent d’une nouvelle pièce dans le puzzle qu’ils tentent de reconstituer : un message électronique envoyé à Lamine Diack, le 7 septembre 2013.
Ce jour-là, celui qui est alors président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) mais aussi membre influent du Comité international olympique (CIO), s’apprête à voter pour la ville hôte des Jeux d’été 2020.
Tokyo, Madrid et Istanbul sont candidates. Et, le jour du vote, Lamine Diack reçoit un mail de son fils : « Il faut que l’on verrouille pendant la pause ».
« Information de ton collègue africain, il paraît que cheikh Ahmad est en train de tout faire pour amener les Africains à voter Madrid !!!! Il faut que l’on verrouille pendant la pause » Signé : « Massata ». Le dirigeant répond d’un ton laconique : « Nous pouvons en parler après la session ».
Aujourd’hui visé par un mandat d’arrêt international, « PMD », l’ancien consultant marketing de l’IAAF est soupçonné d’être au cœur des affaires de corruption à la tête de la Fédération internationale d’athlétisme.
Avec lemonde.fr
Ce jour-là, celui qui est alors président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) mais aussi membre influent du Comité international olympique (CIO), s’apprête à voter pour la ville hôte des Jeux d’été 2020.
Tokyo, Madrid et Istanbul sont candidates. Et, le jour du vote, Lamine Diack reçoit un mail de son fils : « Il faut que l’on verrouille pendant la pause ».
« Information de ton collègue africain, il paraît que cheikh Ahmad est en train de tout faire pour amener les Africains à voter Madrid !!!! Il faut que l’on verrouille pendant la pause » Signé : « Massata ». Le dirigeant répond d’un ton laconique : « Nous pouvons en parler après la session ».
Aujourd’hui visé par un mandat d’arrêt international, « PMD », l’ancien consultant marketing de l’IAAF est soupçonné d’être au cœur des affaires de corruption à la tête de la Fédération internationale d’athlétisme.
Avec lemonde.fr
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