Le gouvernement sud-africain a confirmé être au courant des deux incidents. Le mois dernier, un homme soupçonné d'être un artificier de l'organisation jihadiste a été arrêté à l'aéroport d'Istanbul en Turquie, alors qu'il s'apprêtait à embarquer pour l'Afrique du Sud. L'homme est un Irakien, connu des services secrets de ce pays.
Selon l'ambassadeur irakien à Pretoria, l'homme s'apprêtait à venir en Afrique du Sud, non pas pour recruter pour le compte de Etat islamique, mais pour identifier une cible en vue d'une attaque. Depuis deux ans, l'ambassade américaine met en garde contre de possibles attentats contre ses ressortissants dans le pays.
Pretoria a également confirmé un second incident. Le mois dernier, un suspect en provenance de Turquie a été intercepté à l'aéroport de Johannesburg, et renvoyé. La police sud-africaine a précisé que l'homme n'avait pas été arrêté, car il n'avait commis aucun crime dans le pays.
Pour les différents spécialistes, ces incidents sont à prendre au sérieux et montrent un intérêt accru pour le territoire sud-africain. Pretoria reconnaît que dans le passé son territoire a été utilisé par des d'individus liés à des groupes terroristes, mais a toujours écarté la menace d'attaque directe sur son territoire.
Selon l'ambassadeur irakien à Pretoria, l'homme s'apprêtait à venir en Afrique du Sud, non pas pour recruter pour le compte de Etat islamique, mais pour identifier une cible en vue d'une attaque. Depuis deux ans, l'ambassade américaine met en garde contre de possibles attentats contre ses ressortissants dans le pays.
Pretoria a également confirmé un second incident. Le mois dernier, un suspect en provenance de Turquie a été intercepté à l'aéroport de Johannesburg, et renvoyé. La police sud-africaine a précisé que l'homme n'avait pas été arrêté, car il n'avait commis aucun crime dans le pays.
Pour les différents spécialistes, ces incidents sont à prendre au sérieux et montrent un intérêt accru pour le territoire sud-africain. Pretoria reconnaît que dans le passé son territoire a été utilisé par des d'individus liés à des groupes terroristes, mais a toujours écarté la menace d'attaque directe sur son territoire.
Autres articles
-
Tchad: la coalition «Nous le Peuple» demande le report de la présidentielle
-
Présidentielle 2024: la CEDEAO compte envoyer une délégation de 130 observateurs au Sénégal
-
Guinée : limogeage des directeurs généraux des sociétés d’électricité et des pétroles
-
Burkina: Le président Traoré signe un décret pour récompenser les dénonciateurs des faits avérés de corruption
-
Un bilan mitigé pour les 30 ans de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale