Sur sa page Facebook l'intellectuel sénégalais, Felwine Sarr, demande aux dirigeants africains d'agir. « Préserver notre dignité et refuser l'inacceptable est la première des urgences », affirme l'animateur des Ateliers de la pensée.
Même cri du cœur poussé par l'artiste ivoirien Tiken Jah Fakoly, installé au Mali. « Nous dénonçons l'esclavage dont sont victimes nos frères et sœurs en Libye », a-t-il lancé. L'artiste souhaite mobiliser la jeunesse africaine. « Nous ne pouvons pas rester silencieux face à cette situation », poursuit-il.
A Daloa, ville du centre-ouest de la Côte d'Ivoire, fortement touchée par l'émigration irrégulière de jeunes vers l'Europe, cette vidéo choque et interpelle les acteurs locaux, qui tentent de sensibiliser les habitants sur les dangers de ce voyage périlleux.
« Nous avons entrepris des démarches pour faire revenir des jeunes de notre commune », affirme Soro Mamadou, le président de l'Union de la jeunesse communale de Daloa. « Jusque-là, nous étions au courant que des jeunes étaient enfermés dans des prisons, et qu'on sollicite leurs familles pour donner de l'argent, mais ça, les ventes aux enchères, ça nous dépasse », souligne-t-il avec dégoût.
Une pétition a été lancée cette semaine pour demander la fermeture de ces sites et l'arrêt de cette pratique. Elle a recueilli plus de 89 000 signatures en moins de deux jours.
Même cri du cœur poussé par l'artiste ivoirien Tiken Jah Fakoly, installé au Mali. « Nous dénonçons l'esclavage dont sont victimes nos frères et sœurs en Libye », a-t-il lancé. L'artiste souhaite mobiliser la jeunesse africaine. « Nous ne pouvons pas rester silencieux face à cette situation », poursuit-il.
A Daloa, ville du centre-ouest de la Côte d'Ivoire, fortement touchée par l'émigration irrégulière de jeunes vers l'Europe, cette vidéo choque et interpelle les acteurs locaux, qui tentent de sensibiliser les habitants sur les dangers de ce voyage périlleux.
« Nous avons entrepris des démarches pour faire revenir des jeunes de notre commune », affirme Soro Mamadou, le président de l'Union de la jeunesse communale de Daloa. « Jusque-là, nous étions au courant que des jeunes étaient enfermés dans des prisons, et qu'on sollicite leurs familles pour donner de l'argent, mais ça, les ventes aux enchères, ça nous dépasse », souligne-t-il avec dégoût.
Une pétition a été lancée cette semaine pour demander la fermeture de ces sites et l'arrêt de cette pratique. Elle a recueilli plus de 89 000 signatures en moins de deux jours.
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