Chaque année, plus de deux millions de personnes sont infectées par des maladies telles que le VIH et l'hépatite à la suite d’injections à risque impliquant la réutilisation de seringues.
Les nouvelles seringues seront au moins deux fois plus onéreuses, mais l'OMS estime que cela reviendrait toutefois moins cher que le coût du traitement de maladies infectieuses mortelles.
Chaque année, 16 milliards d'injections sont effectuées.
Selon le Dr Selma Khamassi, Directeur du Département de la sécurité des injections à l'OMS, "cela devrait aider à éliminer les 1,7 millions de nouveaux cas d'hépatite B, les 300 000 cas d'hépatite C et les 35 000 cas de VIH chaque année, et tous les autres pour lesquels nous n’avons pas de chiffres comme le virus Ebola et de Marburg".
L'OMS appelle également à l’utilisation de seringues avec une protection pour éviter que les médecins se piquent accidentellement les doigts.
Cela s’est produit de nombreuses fois au cours de l'épidémie du virus Ebola en Afrique de l’Ouest.
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