Les Nations unies ont appelé les belligérants à arrêter immédiatement les combats.
Le conseil de sécurité a pris cette décision lors d’une réunion consacrée à la crise sud-soudanaise, vendredi.
Avant l’ONU, les Etats-Unis ont exigé des protagonistes le respect de l’accord de cessez-le-feu, à la suite d’une rencontre du secrétaire d’Etat américain, John Kerry, avec le président du Soudan du Sud, Salva Kiir.
Un nouvel accord de non-agression signé par la rébellion et le gouvernement sud-soudanais est entré en vigueur le 29 août.
Chacun des camps accuse l’autre de l’avoir violé.
Les précédents accords de cessez-le-feu signés par Riek Machar, le chef de la rébellion, et Salva Kiir, souvent sous le patronage des autres pays d’Afrique de l’Est, ont été violés.
La guerre menée par les deux camps depuis fin 2013 a fait des dizaines de milliers de morts et au moins deux millions de déplacés.
Les Nations unies ont appelé les belligérants à arrêter immédiatement les combats.
Le conseil de sécurité a pris cette décision lors d’une réunion consacrée à la crise sud-soudanaise, vendredi.
Avant l’ONU, les Etats-Unis ont exigé des protagonistes le respect de l’accord de cessez-le-feu, à la suite d’une rencontre du secrétaire d’Etat américain, John Kerry, avec le président du Soudan du Sud, Salva Kiir.
Un nouvel accord de non-agression signé par la rébellion et le gouvernement sud-soudanais est entré en vigueur le 29 août.
Chacun des camps accuse l’autre de l’avoir violé.
Les précédents accords de cessez-le-feu signés par Riek Machar, le chef de la rébellion, et Salva Kiir, souvent sous le patronage des autres pays d’Afrique de l’Est, ont été violés.
La guerre menée par les deux camps depuis fin 2013 a fait des dizaines de milliers de morts et au moins deux millions de déplacés.
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