Pour mieux renforcer son efficacité et son efficience dans le recouvrement des créances publiques mais aussi l’élargir au secteur privé. La Société nationale de recouvrement (SNR) engage la réflexion, une réflexion qui va aboutir à une réforme des textes afin de permettre à la Snr de s’aligner sur les mutations intervenues dans le monde des affaires.
Ainsi, après deux décennies, il est impératif pour la Snr de faire sa mutation afin de s’adapter au contexte du financier nouveau pour assurer la continuité et la pérennité de ses activités la Société nationale de recouvrement (SNR). Et, pour cela, la structure de recouvrement de l’Etat compte faire l’état des lieux des textes qui régissent son organisation, son fonctionnement, et les missions de la Snr, afin de mettre en exergue les problèmes fiscaux, comptables mais aussi juridiques auxquels elle est confrontée depuis l’entrée en vigueur d’un nouveau code général des impôts, du Syscoa révisé, du Code des marchés publics et des textes de l’Ohada, afin de définir les perspectives de révision de la loi 91-21 et du décret 91-210 portant création de la Société nationale de recouvrement.
Au sortir de ces deux jours de réflexion, l’objectif recherché est de permettre à la Snr de s’occuper du recouvrement d’autres types de créances notamment, les créances des banques privées et les créances non fiscales de l’Etat et de ses démembrements tout en conservant sa mission classique au service de l’Etat.
« La maitrise du recouvrement constitue un déterminant pour la continuité du service public, et ses travaux doivent permettre de déboucher sur la pérennité de la Snr», a déclaré Me Babacar Diallo, directeur général de la Société nationale de recouvrement.
Selon le ministre délégué en charge du Budget « La Snr est une société extrêmement importante dans le dispositif financier du Sénégal, mais qui a perdu son aura malgré son taux de recouvrement estimé à 95%. Car, dira le ministre « nous sommes à l’heure ou le dispositif juridique a un peu entamé les pouvoirs d’exercice et les missions de la Snr notamment l’Ohada et la Syscoa. C’est pourquoi il est important que la Snr fasse sa réforme pour servir à autre chose afin de participer au plan Sénégal émergent », a dit Birima Mangara venu représenter le ministre de l’Economie des finances et du Plan.
Cette rencontre qui porte sur le thème « Devenir de la Snr » a vu la participation des universitaires comme les Professeurs Abdoulaye Sakho mais aussi d’Isaac Yankhoba Ndiaye ancien du Conseil constitutionnel et de Pape Diouf, président du Conseil de surveillance de la Snr.
Ainsi, après deux décennies, il est impératif pour la Snr de faire sa mutation afin de s’adapter au contexte du financier nouveau pour assurer la continuité et la pérennité de ses activités la Société nationale de recouvrement (SNR). Et, pour cela, la structure de recouvrement de l’Etat compte faire l’état des lieux des textes qui régissent son organisation, son fonctionnement, et les missions de la Snr, afin de mettre en exergue les problèmes fiscaux, comptables mais aussi juridiques auxquels elle est confrontée depuis l’entrée en vigueur d’un nouveau code général des impôts, du Syscoa révisé, du Code des marchés publics et des textes de l’Ohada, afin de définir les perspectives de révision de la loi 91-21 et du décret 91-210 portant création de la Société nationale de recouvrement.
Au sortir de ces deux jours de réflexion, l’objectif recherché est de permettre à la Snr de s’occuper du recouvrement d’autres types de créances notamment, les créances des banques privées et les créances non fiscales de l’Etat et de ses démembrements tout en conservant sa mission classique au service de l’Etat.
« La maitrise du recouvrement constitue un déterminant pour la continuité du service public, et ses travaux doivent permettre de déboucher sur la pérennité de la Snr», a déclaré Me Babacar Diallo, directeur général de la Société nationale de recouvrement.
Selon le ministre délégué en charge du Budget « La Snr est une société extrêmement importante dans le dispositif financier du Sénégal, mais qui a perdu son aura malgré son taux de recouvrement estimé à 95%. Car, dira le ministre « nous sommes à l’heure ou le dispositif juridique a un peu entamé les pouvoirs d’exercice et les missions de la Snr notamment l’Ohada et la Syscoa. C’est pourquoi il est important que la Snr fasse sa réforme pour servir à autre chose afin de participer au plan Sénégal émergent », a dit Birima Mangara venu représenter le ministre de l’Economie des finances et du Plan.
Cette rencontre qui porte sur le thème « Devenir de la Snr » a vu la participation des universitaires comme les Professeurs Abdoulaye Sakho mais aussi d’Isaac Yankhoba Ndiaye ancien du Conseil constitutionnel et de Pape Diouf, président du Conseil de surveillance de la Snr.
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