Cette réunion organisée conjointement par la Conférence internationale sur la région des Grands lacs (CIRGL), les Nations unies, la SADC et l’Union africaine, était prévue de longue date, mais les heurts du 19 septembre, tout comme la difficulté à ce que les acteurs politiques congolais trouvent un accord acceptable par tous sur les élections, donnent un sens particulier à ce sommet des chefs d'Etat.
Néanmoins pour le ministre des Affaires étrangères angolais, George Chicoti, ce sommet ne va pas servir à remettre en question le contenu de l'accord politique, tel qu'il a été conclu à Kinshasa la semaine dernière. Selon lui, il n'y aura pas de nouveau dialogue, ni de nouvelle date des élections, comme le demandent les poids lourds de l'opposition.
« L'accord reste ouvert »
« Le dialogue a été assez ouvert, salue le ministre. Tous les partis ont été conviés. Naturellement, il y a des rassemblements qui n’y étaient pas. Donc je crois que l’accord reste ouvert et que toutes les autres parties de l’opposition qui n’y ont pas participé peuvent ensuite se joindre à ce dialogue. Mais je crois que ce qui a été signé, on est obligé de l’accepter et ensuite les aider à aller vers la paix. »
Pour autant, pas question d'évoquer les critiques de la conférence épiscopale et de la communauté internationale qui demandent des élections en 2017. « Je ne crois pas qu’on puisse aller dans ce détail-là, poursuit George Chicoti. [...] Je crois que mieux vaut les encourager, sinon tout le monde fait son propre son calendrier. Il y en a qui veulent trois ans, d’autres veulent six mois, d’autres veulent une année, mais je crois que l’essentiel c’est que les Congolais s’entendent sur une date. »
Néanmoins pour le ministre des Affaires étrangères angolais, George Chicoti, ce sommet ne va pas servir à remettre en question le contenu de l'accord politique, tel qu'il a été conclu à Kinshasa la semaine dernière. Selon lui, il n'y aura pas de nouveau dialogue, ni de nouvelle date des élections, comme le demandent les poids lourds de l'opposition.
« L'accord reste ouvert »
« Le dialogue a été assez ouvert, salue le ministre. Tous les partis ont été conviés. Naturellement, il y a des rassemblements qui n’y étaient pas. Donc je crois que l’accord reste ouvert et que toutes les autres parties de l’opposition qui n’y ont pas participé peuvent ensuite se joindre à ce dialogue. Mais je crois que ce qui a été signé, on est obligé de l’accepter et ensuite les aider à aller vers la paix. »
Pour autant, pas question d'évoquer les critiques de la conférence épiscopale et de la communauté internationale qui demandent des élections en 2017. « Je ne crois pas qu’on puisse aller dans ce détail-là, poursuit George Chicoti. [...] Je crois que mieux vaut les encourager, sinon tout le monde fait son propre son calendrier. Il y en a qui veulent trois ans, d’autres veulent six mois, d’autres veulent une année, mais je crois que l’essentiel c’est que les Congolais s’entendent sur une date. »
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