Guinée, Sierra Leone et Liberia se sont fixés comme objectif de parvenir à éradiquer complètement l’épidémie d’Ebola d’ici la mi-avril. Mais pour parvenir à zéro transmission humaine du virus, il va falloir maintenir la lutte contre l’épidémie au même niveau et redéployer les équipes médicales et les moyens sanitaires car les nouvelles infections sont plus aléatoires et moins prévisibles.
Les participants à la conférence internationale pour la lutte contre Ebola ont renouvelé leurs promesses d’aide financière puisque jusqu’ici moins de la moitié des 4,3 milliards d’euros ont été déboursés et qu’il faut faire face à des besoins urgents. « On voit bien qu’il faut aller rapidement dans la reconstruction ou du moins la restructuration des systèmes de santé, explique Annick Girardin secrétaire d’Etat française au Développement. On voit bien qu’il nous faut traiter la problématique alimentaire et donc permettre à l’agriculture de reprendre sa place, notamment en Guinée et dans les deux autres pays touchés par le virus Ebola. On voit bien qu’il y a encore une dynamique à relancer parce que l'emploi est la vraie question. L’important maintenant c’est qu’il n’y ait pas plus d’une année perdue. L’important c’est que ces pays se remettent en marche, que les populations reprennent confiance, que les investisseurs reviennent vers ses pays. »
Les participants à la conférence internationale pour la lutte contre Ebola ont renouvelé leurs promesses d’aide financière puisque jusqu’ici moins de la moitié des 4,3 milliards d’euros ont été déboursés et qu’il faut faire face à des besoins urgents. « On voit bien qu’il faut aller rapidement dans la reconstruction ou du moins la restructuration des systèmes de santé, explique Annick Girardin secrétaire d’Etat française au Développement. On voit bien qu’il nous faut traiter la problématique alimentaire et donc permettre à l’agriculture de reprendre sa place, notamment en Guinée et dans les deux autres pays touchés par le virus Ebola. On voit bien qu’il y a encore une dynamique à relancer parce que l'emploi est la vraie question. L’important maintenant c’est qu’il n’y ait pas plus d’une année perdue. L’important c’est que ces pays se remettent en marche, que les populations reprennent confiance, que les investisseurs reviennent vers ses pays. »
A plus long terme la priorité est désormais aussi de permettre aux pays les plus touchés de renouer avec la forte croissance économique qu'ils avaient atteinte avant l’épidémie et qui faisait suite à des années d’instabilité.
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