Abdou Latif Coilibaly, Ministre de la Culture
Le Syndicat National des Travailleurs de la Culture (SNTC) a été porté sur les fonts baptismaux. « Sans protection ni cadre d’expression… », les acteurs culturels sont décidés à prendre leur destin en main.
« Les acteurs ou travailleurs de la Culture sont laissés à eux-mêmes sans protection sociale ni cadre d’expressions pour le financement de leurs activités. Dans les programmes culturels, l’Etat et les collectivités locales ne prennent pas suffisamment en compte les acteurs de la Culture. La diversité et la multiplicité des associations n’ont fait qu’effriter les forces et disperser les énergies. Considérant l’évolution vertigineuse du monde impactant fortement le secteur, le nombre d’acteurs, travailleurs et entrepreneurs culturels, constatant l’absence d’une politique culturelle et d’une volonté active de mettre en place des mécanismes de développement culturel, l’absence de mécanismes d’accompagnement de l’initiative privée, fonds de garantie, partenariats public-privée, que le plus grand nombre des travailleurs sont dans l’informel et que la plupart des activités sont privées et sans protection sociale, l’inexistence d’une nomenclature claire des métiers la Culture, la précarité alarmante de beaucoup d’artistes et acteurs culturels, l’absence de capacités d’intervention des centres culturels régionaux, nous, comité d’initiative, avons décidé de mettre en place une organisation syndicale pour prendre en charge de manière transversale les questions professionnelles et sociales de tous les acteurs », décline Pape Meïssa Gueye, le Secrétaire général du SNTC.
« Les acteurs ou travailleurs de la Culture sont laissés à eux-mêmes sans protection sociale ni cadre d’expressions pour le financement de leurs activités. Dans les programmes culturels, l’Etat et les collectivités locales ne prennent pas suffisamment en compte les acteurs de la Culture. La diversité et la multiplicité des associations n’ont fait qu’effriter les forces et disperser les énergies. Considérant l’évolution vertigineuse du monde impactant fortement le secteur, le nombre d’acteurs, travailleurs et entrepreneurs culturels, constatant l’absence d’une politique culturelle et d’une volonté active de mettre en place des mécanismes de développement culturel, l’absence de mécanismes d’accompagnement de l’initiative privée, fonds de garantie, partenariats public-privée, que le plus grand nombre des travailleurs sont dans l’informel et que la plupart des activités sont privées et sans protection sociale, l’inexistence d’une nomenclature claire des métiers la Culture, la précarité alarmante de beaucoup d’artistes et acteurs culturels, l’absence de capacités d’intervention des centres culturels régionaux, nous, comité d’initiative, avons décidé de mettre en place une organisation syndicale pour prendre en charge de manière transversale les questions professionnelles et sociales de tous les acteurs », décline Pape Meïssa Gueye, le Secrétaire général du SNTC.
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