Alors que le temps passe, et que l'accord de la Saint-Sylvestre prévoit des élections cruciales à la fin de l'année, le Conseil de sécurité fait part de son inquiétude croissante devant le manque de progrès dans les négociations, dit-il.
Les Etats membres appellent le président Kabila, la majorité et l'opposition, à redoubler d'efforts, en toute bonne foi, pour une conclusion rapide. Les termes du communiqué sont choisis.
L'organisation appelle à nommer urgemment un Premier ministre présenté par le Rassemblement. En sachant que pouvoir et opposition sont en désaccord sur ce point. Le Rassemblement souhaite présenter un candidat, qui serait ensuite validé par le chef de l'Etat. Le gouvernement, lui, veut que l'opposition propose trois noms et non un seul.
L'ONU pousse aussi pour la mise en place des mesures de confiance, et du Conseil national de suivi de l'accord. Un CNSA qui attend toujours un nouveau leader depuis la mort d'Etienne Tshisekedi.
Pour le Conseil de sécurité en tout cas le temps presse et, d'après lui, les problèmes de sécurité ne devraient pas retarder l'application de l'accord. Au contraire, la concrétisation de ce texte dans les faits est importante pour assurer la paix et la sécurité dans le pays, disent les Etats membres.
Ils réitèrent d'ailleurs leur soutien total à la médiation de la Cenco. La Conférence des évêques, agacée par les retards accumulés, appelle pouvoir et opposition à s'entendre au plus vite.
Les Etats membres appellent le président Kabila, la majorité et l'opposition, à redoubler d'efforts, en toute bonne foi, pour une conclusion rapide. Les termes du communiqué sont choisis.
L'organisation appelle à nommer urgemment un Premier ministre présenté par le Rassemblement. En sachant que pouvoir et opposition sont en désaccord sur ce point. Le Rassemblement souhaite présenter un candidat, qui serait ensuite validé par le chef de l'Etat. Le gouvernement, lui, veut que l'opposition propose trois noms et non un seul.
L'ONU pousse aussi pour la mise en place des mesures de confiance, et du Conseil national de suivi de l'accord. Un CNSA qui attend toujours un nouveau leader depuis la mort d'Etienne Tshisekedi.
Pour le Conseil de sécurité en tout cas le temps presse et, d'après lui, les problèmes de sécurité ne devraient pas retarder l'application de l'accord. Au contraire, la concrétisation de ce texte dans les faits est importante pour assurer la paix et la sécurité dans le pays, disent les Etats membres.
Ils réitèrent d'ailleurs leur soutien total à la médiation de la Cenco. La Conférence des évêques, agacée par les retards accumulés, appelle pouvoir et opposition à s'entendre au plus vite.
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