Les portes du camp pénal refuse de s’ouvrir pour l’ancienne mairesse des HLM. Aïda Ndiongue va devoir poursuivre son séjour. Et pour cause hier, la chambre d’accusation a rendu son verdict sur sa demande de liberté provisoire. Requête qui ne passe toujours pas à travers ce second revers pour la sénatrice. Ceci, après que la juridiction du second degré l'a rejetée, confirmant ainsi le juge d’instruction du deuxième cabinet.
En effet dans sa première requête introduite devant le magistrat instructeur, Aïda Ndiongue avait invoqué comme motifs des contestations sérieuses, des garanties de représentations en justice et l’absence de risque de subordination. Tout en expliquant tous les marchés que ses entreprises ont gagné et la totalité qu’elles ont reçu pour la réalisation des marchés, elle évoque entre autres la mesure d’interdiction de sortie qui lui est infligée et les biens meubles, corporels et incorporels ainsi que les biens immeubles qui sont entre les mains de la justice.
Pour la responsable libérale, entendue par le juge au même titre que tous les co-inculpés et les témoins, il n'y a point de risques de trouble à l’ordre public. Cependant cela n’a pas convaincu le magistrat qui n’a pas accédé à sa demande consistant à la placer ne serait que sous contrôle judiciaire. Peut-être, sert "l'As" que la sénatrice libérale ira se plaindre devant la cour suprême ?
En effet dans sa première requête introduite devant le magistrat instructeur, Aïda Ndiongue avait invoqué comme motifs des contestations sérieuses, des garanties de représentations en justice et l’absence de risque de subordination. Tout en expliquant tous les marchés que ses entreprises ont gagné et la totalité qu’elles ont reçu pour la réalisation des marchés, elle évoque entre autres la mesure d’interdiction de sortie qui lui est infligée et les biens meubles, corporels et incorporels ainsi que les biens immeubles qui sont entre les mains de la justice.
Pour la responsable libérale, entendue par le juge au même titre que tous les co-inculpés et les témoins, il n'y a point de risques de trouble à l’ordre public. Cependant cela n’a pas convaincu le magistrat qui n’a pas accédé à sa demande consistant à la placer ne serait que sous contrôle judiciaire. Peut-être, sert "l'As" que la sénatrice libérale ira se plaindre devant la cour suprême ?
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