«A chaque fois que je pense à ce que ce système fait là, je frémis parce que c’est des bourreaux froids, sans foi, pleins de sang-froid et ni loi. Ils sont disqualifiés», dixit Sada Ndiaye de Mankoo Wàttu Senegaal.
Le responsable libéral de poursuivre : «Maintenant, s’il faut se bagarrer, on se bagarrera». «De Diouf à Wade, on n’a jamais eu de bagarre pour enlever le ministre de l’Intérieur car c’est une question de crédibilité», charge-t-il.
«Et, plus grave encore, aujourd’hui, on est à moins de six (6) mois des élections. On est le 27 février et les élections auront lieu le 30 juillet. Et le code de la CEDEAO est très clair, six (6) mois avant les élections, on ne doit pas toucher le code électoral. On n’a même pas le fondement même de l’élection, le fichier n’est pas encore là mais sauf consensus. Quelqu’un qui fait son code dans sa chambre noire fermée, qui le sort d’un coup de baguette magique, celui-là, on ne peut pas attendre de lui un consensus», tranche-t-il.
Avant de lâcher le mot: «On ne fait pas confiance à Macky Sall, au ministre de l’Intérieur, au ministre des Affaires étrangères, au ministre de la Justice». S’agissant de ce dernier, l’ancien ministre sous Wade parle de «querelles de chiffonniers».
Le responsable libéral de poursuivre : «Maintenant, s’il faut se bagarrer, on se bagarrera». «De Diouf à Wade, on n’a jamais eu de bagarre pour enlever le ministre de l’Intérieur car c’est une question de crédibilité», charge-t-il.
«Et, plus grave encore, aujourd’hui, on est à moins de six (6) mois des élections. On est le 27 février et les élections auront lieu le 30 juillet. Et le code de la CEDEAO est très clair, six (6) mois avant les élections, on ne doit pas toucher le code électoral. On n’a même pas le fondement même de l’élection, le fichier n’est pas encore là mais sauf consensus. Quelqu’un qui fait son code dans sa chambre noire fermée, qui le sort d’un coup de baguette magique, celui-là, on ne peut pas attendre de lui un consensus», tranche-t-il.
Avant de lâcher le mot: «On ne fait pas confiance à Macky Sall, au ministre de l’Intérieur, au ministre des Affaires étrangères, au ministre de la Justice». S’agissant de ce dernier, l’ancien ministre sous Wade parle de «querelles de chiffonniers».
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