Donald Trump a annoncé lundi 20 novembre avoir placé la Corée du Nord sur la liste noire américaine « des Etats soutenant le terrorisme ». Le président des Etats-Unis souhaite ainsi accroître la pression contre le régime de Pyongyang, qui avait été retiré de cette liste en 2008.
Selon M. Trump, cette décision ouvre la voie à « de nouvelles sanctions » contre « la Corée du Nord ou des personnes liées à elle ». « En plus de menacer le monde de dévastation nucléaire, la Corée du Nord a soutenu de manière répétée des actes de terrorisme international, dont des assassinats en territoire étranger », a justifié M. Trump à Washington lundi.
L’Iran, la Syrie et le Soudan également sur la liste
Le président américain fait notamment référence au meurtre avec un agent neurotoxique de Kim Jong-nam, demi-frère du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, en février en Malaisie, pour lequel la Corée du Nord est soupçonnée. M. Trump a également évoqué le cas de l’étudiant américain Otto Warmbier, détenu par Pyongyang et mort en juin après son rapatriement dans le coma
Selon M. Trump, cette décision ouvre la voie à « de nouvelles sanctions » contre « la Corée du Nord ou des personnes liées à elle ». « En plus de menacer le monde de dévastation nucléaire, la Corée du Nord a soutenu de manière répétée des actes de terrorisme international, dont des assassinats en territoire étranger », a justifié M. Trump à Washington lundi.
L’Iran, la Syrie et le Soudan également sur la liste
Le président américain fait notamment référence au meurtre avec un agent neurotoxique de Kim Jong-nam, demi-frère du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, en février en Malaisie, pour lequel la Corée du Nord est soupçonnée. M. Trump a également évoqué le cas de l’étudiant américain Otto Warmbier, détenu par Pyongyang et mort en juin après son rapatriement dans le coma
La Corée du Nord rejoint d’autres pays inscrits sur cette liste : l’Iran, la Syrie et le Soudan. Pyongyang avait déjà figuré dans cette liste de 1988 à 2008 en raison de son implication dans l’attentat à la bombe contre un avion sud-coréen qui avait fait 115 morts en 1987. L’administration républicaine de George W. Bush l’avait retirée pour favoriser des négociations sur le nucléaire qui ont finalement échoué
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