C'est la deuxième tentative des républicains pour abolir Obamacare, et c'est le deuxième échec. Après la révolte des représentants le mois dernier, les sénateurs, à leur tour, ont fait plier leur hiérarchie.
La fronde au sein de parti présidentiel n'est pas uniforme. Pour l'extrême droite, la réforme pèse encore trop sur les finances publiques. Les modérés, confortés par l'analyse budgétaire, estiment que les plus démunis sont les grands perdants de cette nouvelle loi.
Mitch McConnell, leader de la majorité républicaine au Sénat le reconnaît. « Les lois de cette complexité prennent toujours plus de temps que nous le souhaitons. Mais nous allons pousser. Le statu quo n'est pas tenable. Nous sommes optimistes, nous allons trouver la solution acceptable », assure-t-il.
Les démocrates, comme le sénateur Schumer, ne crient pas victoire, le vote est reporté à la fin du mois du juillet. « Nous savons que le combat n'est pas terminé, c'est certain. Nous ne nous reposons pas sur nos lauriers, nous ne ressentons pas le sentiment de la mission accomplie, mais nous faisons des progrès car le peuple américain écoute nos arguments », se félicite-t-il.
Donald Trump est très contrarié par ce contretemps. C'est un échec que le président prend très à cœur. Il va multiplier les pressions sur les sénateurs réticents pour obtenir les quelques voix manquantes.
RFI
La fronde au sein de parti présidentiel n'est pas uniforme. Pour l'extrême droite, la réforme pèse encore trop sur les finances publiques. Les modérés, confortés par l'analyse budgétaire, estiment que les plus démunis sont les grands perdants de cette nouvelle loi.
Mitch McConnell, leader de la majorité républicaine au Sénat le reconnaît. « Les lois de cette complexité prennent toujours plus de temps que nous le souhaitons. Mais nous allons pousser. Le statu quo n'est pas tenable. Nous sommes optimistes, nous allons trouver la solution acceptable », assure-t-il.
Les démocrates, comme le sénateur Schumer, ne crient pas victoire, le vote est reporté à la fin du mois du juillet. « Nous savons que le combat n'est pas terminé, c'est certain. Nous ne nous reposons pas sur nos lauriers, nous ne ressentons pas le sentiment de la mission accomplie, mais nous faisons des progrès car le peuple américain écoute nos arguments », se félicite-t-il.
Donald Trump est très contrarié par ce contretemps. C'est un échec que le président prend très à cœur. Il va multiplier les pressions sur les sénateurs réticents pour obtenir les quelques voix manquantes.
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