Tout Etat, toute organisation doit apprendre à sensibiliser et à conscientiser son peuple pour qu’il ne verse pas dans l’extrémisme. C’est du moins l’avis du président de APPEL selon qui : «la presse en ligne a un grand rôle à jouer. Car, aujourd’hui, elle est la première source d’informations au Sénégal à travers les smart phones, les tablettes et autres».
En marge de l’atelier de formation des professionnels de la presse en ligne au Sénégal sur les enjeux de la prévention contre l’extrémisme violent en Afrique initié par Timbuktu Institue ce mercredi, Ibrahima Lissa Faye qui a pris part à la cérémonie d"ouverture, appelle à plus de responsabilités.
«Chaque jour, cette responsabilité, nous devons la porter en bandoulière. Parce que, nous devons savoir qu’au moment où nous écrivons et postons des informations, d’autres sont en train de regarder», a-t-il avancé.
Poursuivant, le directeur de Publication de PressAfrik.com de souligner que: «Si nous avons l’habitude de véhiculer certaines informations qui dans le long terme peuvent avoir une incidence sur la psychologie de ceux qui les lisent, nous serons les seuls responsables».
Ayant connaissance de cela, Appel «fait tout son possible pour conscientiser et faire comprendre aux éditeurs de la presse en ligne qui sont membres de l’association, qu’il ne faut pas publier du n’importe quoi», a renseigné le président de ladite association.
Le Professeur Bakary Sambe initiateur de cette formation, a abondé dans le même sens.
Selon lui : «la radicalisation de beaucoup de jeunes se faisait à travers internet. On dit très souvent que l’arme digitale est d’autant plus redoutable qu’elle est à la portée de tous».
«Et, aujourd’hui, un moyen de communication aussi puissant que internet, doit apporter sa contribution dans le travail de prévention», a-t-il soutenu.
A l’en croire, dans un tel travail, il est extrêmement important d’associer la presse en ligne qui a une responsabilité sociétale énorme mais parfois qui n’est pas capacité en traitant d’informations sensibles comme le terrorisme, les arrestations et autres.
«En soutien aux efforts de l’Etat et de ceux des partenaires internationaux, nous voulons "capaciter" la presse... Parce que la prévention de l’extrémisme, la prévention de la paix sociale, la coexistence pacifique et l’entente qui règne au Sénégal sont un ensemble de bien précieux que nous avons, tous, le plus grand intérêt à sauvegarder», a lancé le professeur .
En marge de l’atelier de formation des professionnels de la presse en ligne au Sénégal sur les enjeux de la prévention contre l’extrémisme violent en Afrique initié par Timbuktu Institue ce mercredi, Ibrahima Lissa Faye qui a pris part à la cérémonie d"ouverture, appelle à plus de responsabilités.
«Chaque jour, cette responsabilité, nous devons la porter en bandoulière. Parce que, nous devons savoir qu’au moment où nous écrivons et postons des informations, d’autres sont en train de regarder», a-t-il avancé.
Poursuivant, le directeur de Publication de PressAfrik.com de souligner que: «Si nous avons l’habitude de véhiculer certaines informations qui dans le long terme peuvent avoir une incidence sur la psychologie de ceux qui les lisent, nous serons les seuls responsables».
Ayant connaissance de cela, Appel «fait tout son possible pour conscientiser et faire comprendre aux éditeurs de la presse en ligne qui sont membres de l’association, qu’il ne faut pas publier du n’importe quoi», a renseigné le président de ladite association.
Le Professeur Bakary Sambe initiateur de cette formation, a abondé dans le même sens.
Selon lui : «la radicalisation de beaucoup de jeunes se faisait à travers internet. On dit très souvent que l’arme digitale est d’autant plus redoutable qu’elle est à la portée de tous».
«Et, aujourd’hui, un moyen de communication aussi puissant que internet, doit apporter sa contribution dans le travail de prévention», a-t-il soutenu.
A l’en croire, dans un tel travail, il est extrêmement important d’associer la presse en ligne qui a une responsabilité sociétale énorme mais parfois qui n’est pas capacité en traitant d’informations sensibles comme le terrorisme, les arrestations et autres.
«En soutien aux efforts de l’Etat et de ceux des partenaires internationaux, nous voulons "capaciter" la presse... Parce que la prévention de l’extrémisme, la prévention de la paix sociale, la coexistence pacifique et l’entente qui règne au Sénégal sont un ensemble de bien précieux que nous avons, tous, le plus grand intérêt à sauvegarder», a lancé le professeur .
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