Le maire de Dakar, Khalifa Sall a plaidé pour une synergie des actions concertées entre l’Etat et les collectivités locales ce qui va permettre un meilleur renforcement des capacités d’anticipation et de prévention de l’insécurité. Khalifa Sall a fait cette annonce hier jeudi lors d’un symposium sous régional sur les questions sécuritaires tenu à Dakar.
Selon le maire de la capitale Khalifa Sall « les collectivités locales ont un pouvoir de police qui doit s’exercer en accord avec l’Etat quand elles sont interpellées sur leur capacité d’anticiper et de prévenir l’insécurité » a déclaré M. Sall.
De l’avis de Khalifa Sall « La sécurité est une compétence gérée par l’Etat", a souligné l’édile de Dakar ajoutant que "l’insécurité humaine est à la base de l’insécurité publique ».
Ajoutant que « Ce sont des hommes, des femmes et des jeunes qui sont interpellés sur leur capacité à s’insérer dans la communauté, à y jouer un rôle qui se sont mis en marge ou qui ont été largués par la société », a expliqué Khalifa Sall.
Le maire de Dakar reconnait tout de même que « Le jeune drogué, la petite prostituée, le trafiquant de drogue, le voleur, le djihadiste sont des hommes et des femmes provenant de nos quartiers, de nos maisons et dont on peut retracer le parcours de détresse, d’inquiétude, d’insatisfaction, d’incapacité à être insérer dans la société », a ajouté Khalifa Sall. Toutefois ils ne doivent pas être exclus et mis en marge de la société.
Axé sur le thème : « stratégies locales de lutte contre la violence et la criminalité pour une gouvernance urbaine inclusive en Afrique de l’ouest », le symposium qui a réuni des maires d’Afrique et des autorités locales à pour objet de réfléchir sur la question de la sécurité urbaine en générale mais dans son volet anticipation, prévention et solution.
Selon le maire de la capitale Khalifa Sall « les collectivités locales ont un pouvoir de police qui doit s’exercer en accord avec l’Etat quand elles sont interpellées sur leur capacité d’anticiper et de prévenir l’insécurité » a déclaré M. Sall.
De l’avis de Khalifa Sall « La sécurité est une compétence gérée par l’Etat", a souligné l’édile de Dakar ajoutant que "l’insécurité humaine est à la base de l’insécurité publique ».
Ajoutant que « Ce sont des hommes, des femmes et des jeunes qui sont interpellés sur leur capacité à s’insérer dans la communauté, à y jouer un rôle qui se sont mis en marge ou qui ont été largués par la société », a expliqué Khalifa Sall.
Le maire de Dakar reconnait tout de même que « Le jeune drogué, la petite prostituée, le trafiquant de drogue, le voleur, le djihadiste sont des hommes et des femmes provenant de nos quartiers, de nos maisons et dont on peut retracer le parcours de détresse, d’inquiétude, d’insatisfaction, d’incapacité à être insérer dans la société », a ajouté Khalifa Sall. Toutefois ils ne doivent pas être exclus et mis en marge de la société.
Axé sur le thème : « stratégies locales de lutte contre la violence et la criminalité pour une gouvernance urbaine inclusive en Afrique de l’ouest », le symposium qui a réuni des maires d’Afrique et des autorités locales à pour objet de réfléchir sur la question de la sécurité urbaine en générale mais dans son volet anticipation, prévention et solution.
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